Algérie

Les négociations buttent sur le traitement du "terrorisme"



Les négociations buttent sur le traitement du
Le gouvernement syrien et l'opposition, en négociations depuis samedi sous l'égide de l'Onu, se sont accusés mutuellement jeudi d'actes de "terrorisme".Le gouvernement syrien et l'opposition, en négociations depuis samedi sous l'égide de l'Onu, se sont accusés mutuellement jeudi d'actes de "terrorisme".Les délégations du gouvernement syrien et de l'opposition ne sont pas parvenues jeudi, lors des discussions à Genève, à un accord sur la façon de traiter le "terrorisme" en Syrie, a affirmé le médiateur international pour le conflit syrien, Lakhdar Brahimi.Le gouvernement syrien et l'opposition, en négociations depuis samedi sous l'égide de l'Onu, se sont accusés mutuellement jeudi d'actes de "terrorisme" dans la guerre qui les oppose depuis près de trois ans."Il n'y a pas eu d'accord sur la façon de le traiter", a indiqué M. Brahimi dans une conférence de presse. "Je ne sens pas réellement de changement dans la position des deux interlocuteurs", a-t-il ajouté. Il a annoncé que la dernière réunion prévue vendredi matin pour cette session de pourparlers viserait à tirer "quelques leçons sur ce que nous avons fait et cherchera comment nous pouvons mieux nous organiser pour la prochaine session". Celle-ci devrait se tenir aux alentours du 10 février à Genève. La date sera confirmée vendredi.Le médiateur a catégoriquement démenti que des négociations parallèles se déroulent ailleurs en Suisse, à Berne comme l'a affirmé une chaîne d'information continue arabe. "Ce serait bien, ainsi je pourrais rentrer chez moi, malheureusement il n'y a pas de discussions parallèles", a dit M. Brahimi en réponse à une question.Il s'est dit "très, très déçu par l'absence de progrès sur l'aide humanitaire au quartier assiégé de Homs", la troisième ville du pays. "Les négociations se poursuivent, maintenant il faut savoir ce qui se passe d'abord.Est-ce que l'aide peut entrer et ensuite les gens sont autorisés à sortir, ou l'inverse, d'abord les gens sortent et ensuite on voit que faire pour l'aide. C'est malheureusement une situation de guerre civile".Le gouvernement entend d'abord laisser sortir femmes et enfants restés bloqués dans la vieille ville depuis plus de 600 jours, l'opposition refusant la séparation des familles, tandis qu'humanitaires et diplomates rappellent que le droit international interdit les mouvements de population sous la pression, la décision doit être prise librement et non sous la contrainte de manque de vivres et de médicaments.Plus de 7.000 étrangers combattraient avec les terroristes syriensPlus de 7.000 étrangers combattent dans les rangs rebelles en Syrie et certains d'entre eux y reçoivent une formation pour aller commettre des attentats dans leur pays d'origine, ont déclaré les chefs des services de renseignement américains mercredi lors d'une audition au Sénat.Les précédents chiffres sur les volontaires étrangers au sein de l'insurrection syrienne faisaient état de 3.000 à 4.000 combattants."Nous estimons en ce moment à plus de 7.000 les combattants étrangers, venus d'une cinquantaine de pays, nombre d'entre eux d'Europe et du Proche-Orient", a déclaré James Clapper, directeur du Renseignement national, devant la commission du Sénat chargée des questions de renseignement."C'est une grande inquiétude, pas seulement pour nous mais aussi pour les pays d'origine de ces combattants", a-t-il ajouté.Selon James Clapper, des camps d'entraînement ont été créés en Syrie pour ces volontaires étrangers et certains militants djihadistes, notamment ceux du Front al Nosra, ne cachent pas leur désir de commettre des attentats contre les intérêts américains.Les délégations du gouvernement syrien et de l'opposition ne sont pas parvenues jeudi, lors des discussions à Genève, à un accord sur la façon de traiter le "terrorisme" en Syrie, a affirmé le médiateur international pour le conflit syrien, Lakhdar Brahimi.Le gouvernement syrien et l'opposition, en négociations depuis samedi sous l'égide de l'Onu, se sont accusés mutuellement jeudi d'actes de "terrorisme" dans la guerre qui les oppose depuis près de trois ans."Il n'y a pas eu d'accord sur la façon de le traiter", a indiqué M. Brahimi dans une conférence de presse. "Je ne sens pas réellement de changement dans la position des deux interlocuteurs", a-t-il ajouté. Il a annoncé que la dernière réunion prévue vendredi matin pour cette session de pourparlers viserait à tirer "quelques leçons sur ce que nous avons fait et cherchera comment nous pouvons mieux nous organiser pour la prochaine session". Celle-ci devrait se tenir aux alentours du 10 février à Genève. La date sera confirmée vendredi.Le médiateur a catégoriquement démenti que des négociations parallèles se déroulent ailleurs en Suisse, à Berne comme l'a affirmé une chaîne d'information continue arabe. "Ce serait bien, ainsi je pourrais rentrer chez moi, malheureusement il n'y a pas de discussions parallèles", a dit M. Brahimi en réponse à une question.Il s'est dit "très, très déçu par l'absence de progrès sur l'aide humanitaire au quartier assiégé de Homs", la troisième ville du pays. "Les négociations se poursuivent, maintenant il faut savoir ce qui se passe d'abord.Est-ce que l'aide peut entrer et ensuite les gens sont autorisés à sortir, ou l'inverse, d'abord les gens sortent et ensuite on voit que faire pour l'aide. C'est malheureusement une situation de guerre civile".Le gouvernement entend d'abord laisser sortir femmes et enfants restés bloqués dans la vieille ville depuis plus de 600 jours, l'opposition refusant la séparation des familles, tandis qu'humanitaires et diplomates rappellent que le droit international interdit les mouvements de population sous la pression, la décision doit être prise librement et non sous la contrainte de manque de vivres et de médicaments.Plus de 7.000 étrangers combattraient avec les terroristes syriensPlus de 7.000 étrangers combattent dans les rangs rebelles en Syrie et certains d'entre eux y reçoivent une formation pour aller commettre des attentats dans leur pays d'origine, ont déclaré les chefs des services de renseignement américains mercredi lors d'une audition au Sénat.Les précédents chiffres sur les volontaires étrangers au sein de l'insurrection syrienne faisaient état de 3.000 à 4.000 combattants."Nous estimons en ce moment à plus de 7.000 les combattants étrangers, venus d'une cinquantaine de pays, nombre d'entre eux d'Europe et du Proche-Orient", a déclaré James Clapper, directeur du Renseignement national, devant la commission du Sénat chargée des questions de renseignement."C'est une grande inquiétude, pas seulement pour nous mais aussi pour les pays d'origine de ces combattants", a-t-il ajouté.Selon James Clapper, des camps d'entraînement ont été créés en Syrie pour ces volontaires étrangers et certains militants djihadistes, notamment ceux du Front al Nosra, ne cachent pas leur désir de commettre des attentats contre les intérêts américains.




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