Ainsi, on apprend de source officielle qu’en dépit de plus de 10 milliards de dinars, dont regorgent les caisses de la commune, cette dernière ne dispose que d’un rétrochargeur, un chargeur en panne et une niveleuse sans conducteur ! Cette situation a emmené, d’ailleurs, les pouvoirs publics à faire appel à des entreprises privées pour apporter, bénévolement, leur soutien dans la gestion du sinistre. Néanmoins, un élu de l’APC a tenu à faire part des travaux engagés par la commune en vue de rouvrir les établissements scolaires sinistrés.
« Je ne voudrais pas jeter des fleurs à l’APC, mais nous avons tout de même mobilisé nos moyens matériels et humains pour prendre en charge le sinistre. L’urgence, pour nous, était de venir en aide aux familles bloquées dans plusieurs cités inondées et surtout permettre la réouverture des établissements atteints. D’ailleurs, 5 écoles accueilleront, dès mardi, les élèves après les opérations de nettoyage que nous avons effectuées.» Cependant, trois jours après les graves inondations, la ville de Skikda continue de vivre alternativement dans la gadoue et la poussière.
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Posté Le : 08/02/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Khider Ouahab
Source : www.elwatan.com