Cet article tente de tester si le modèle monétaire pouvait expliquer ou pas le comportement du taux de change en Algérie en utilisant des données couvrants la période 1989-2013. Les tests appliqués ont démontré la non stationnarité des séries, ce qui nous a amené à appliquer les tests de cointégration pour estimer enfin le modèle à correction d’erreur (ECM). On est parvenu à la conclusion que le modèle monétaire était plus robuste à long terme qu’à court terme puisque les fondamentaux monétaires nécessitent un certain intervalle de temps pour exercer leur influence sur le taux de change algérien.
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Posté Le : 03/05/2021
Posté par : einstein
Ecrit par : - Benziane Radia
Source : مجلة الباحث Volume 15, Numéro 15, Pages 149-160