Les mises en garde de l'AADL restées lettre morte

? Les mises en garde adressées par les gérants des sites AADL dans le Grand Alger aux locataires pour désinstaller leurs antennes paraboliques sur les terrasses des immeubles sont restées lettre morte.Pourtant, les gérants desdits sites avaient menacé les locataires de recourir à la mise en demeure, synonyme de l'application de la loi relative à la gestion et au respect des parties communes.
Non seulement les habitants des anciennes cités continuent de faire fi des règles régissant ces parties communes, mais les locataires des sites récemment attribués ont, eux aussi, transformé les terrasses et les devantures des immeubles en véritable "gruyère", exposant les voisins des derniers étages à toutes sortes de désagréments.