C'est dans un climat calme et serein, marqué de surcroît par une organisation à la mesure de l'événement, que la population d'Alger a vécu l'élection présidentielle du 17 avril.C'est dans un climat calme et serein, marqué de surcroît par une organisation à la mesure de l'événement, que la population d'Alger a vécu l'élection présidentielle du 17 avril.Dès 8 h, les premiers électeurs commençaient à affluer vers les bureaux de vote. À l'école Roustomia 3, ils étaient moins nombreux. Outre les assesseurs qui représentent chaque candidat, les employés municipaux sont également mobilisés.On a l'impression que beaucoup de gens ne voteront pas. Ça brouille toutes les cartes. Ammi Omar en est la preuve vivante. Mécontent, le retraité opte pour un vote sanction. Destination Clairval. Le siège de la permanence du Parti Front El Moustakbal a connu un vaste mouvement depuis qu'il a ouvert ses portes dans la matinée. Sur les visages des militants, des signes d'optimisme étaient apparents pour la suite du parcours emprunté depuis de longs mois. Après cette virée, destination l'école de Mohamed-Belaredj, sise au quartier Jolie-vue, à Kouba.Il était 10 h , quand le candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, s'est présenté au centre de vote précité, précisément au bureau numéro 29, pour accomplir son devoir de citoyen. En marge de ce fait, nous nous sommes approchés de lui pour connaître ses impressions. Le plus jeune candidat de cette joute électorale a déclaré :«Je me suis présenté en qualité de citoyen algérien pour accomplir mon devoir, et honorer ainsi le serment prêté à nos glorieux martyrs et, bien sûr, pour la stabilité après cette décennie noire que nous ne sommes pas près d'oublier et de laquelle nous avons ainsi à tirer les enseignements qu'il faut pour consolider la souveraineté de notre pays.» Et il n'a pas manqué «d'appeler tous les Algériennes et les Algériens à aller voter en masse et relever le défi qui s'impose».Dans une ville parée de ses plus beaux atours sous un merveilleux temps printanier, nous avons rencontré quelques adolescents qui s'apprêtaient à voter pour la première fois. «Heureux comme je ne l'ai jamais été», nous a déclaré Riadh en brandissant sa carte d'électeur. «Je n'ai jamais voté, mais mon âge me permet de le faire maintenant. Je me sens citoyen à part entière. J'ai accompli mon devoir avec âme et conscience.Nous aimons l'Algérie, notre seul et unique pays, nous n'avons pas de pays de rechange. Et comme l'ont fait nos martyrs, nous veillerons à préserver notre pays, le seul que nous ayons.» Après «une campagne électorale qui s'est déroulée normalement», comme l'a souligné le directeur de communication, Ahmed Bensabane, l'heure sera à la parole du peuple qui se prononcera en toute transparence. Le dépouillement est un moment particulièrement intéressant.Sur un tableau, c'est inscrit le taux de participation estimé à plus de 51%. Même si que l'optimisme se lit sur les visages l'ensemble des présents au quartier général du candidat du Front El Moustakbal, il reste que le suspense est de la partie. Chacun essaye d'alimenter l'ambiance qui commence à perdre son ampleur, devant un parterre de journalistes qui attend une telle ou telle déclaration du candidat Belaid, ou l'un de ses portes paroles.A cet effet, le directeur de compagne du candidat Abdelaziz Belaid, Abdellah El Oyafi, a révélé lors de ce point de presse improvisé un peu plus tard dans la nuit, que le candidat du Front El Moustakbal, occupe la seconde place, après celle occupée par le candidat président Bouteflika et ce à travers la majorité des wilayas du territoire national, et ce, en attendant les résultats officiels du ministre de intérieur et le conseil constitutionnel. Le même interlocuteur, a souligné que quelques dépassements organiques, matériels et d'autres juridiques ont été enregistrés durant le scrutin. En attendant les résultats officiels qui seront annoncés par les ministère de l'intérieur et les conseil constitutionnel, la situation est en stand by, et le rêve est permis... wait and see .Dès 8 h, les premiers électeurs commençaient à affluer vers les bureaux de vote. À l'école Roustomia 3, ils étaient moins nombreux. Outre les assesseurs qui représentent chaque candidat, les employés municipaux sont également mobilisés.On a l'impression que beaucoup de gens ne voteront pas. Ça brouille toutes les cartes. Ammi Omar en est la preuve vivante. Mécontent, le retraité opte pour un vote sanction. Destination Clairval. Le siège de la permanence du Parti Front El Moustakbal a connu un vaste mouvement depuis qu'il a ouvert ses portes dans la matinée. Sur les visages des militants, des signes d'optimisme étaient apparents pour la suite du parcours emprunté depuis de longs mois. Après cette virée, destination l'école de Mohamed-Belaredj, sise au quartier Jolie-vue, à Kouba.Il était 10 h , quand le candidat du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, s'est présenté au centre de vote précité, précisément au bureau numéro 29, pour accomplir son devoir de citoyen. En marge de ce fait, nous nous sommes approchés de lui pour connaître ses impressions. Le plus jeune candidat de cette joute électorale a déclaré :«Je me suis présenté en qualité de citoyen algérien pour accomplir mon devoir, et honorer ainsi le serment prêté à nos glorieux martyrs et, bien sûr, pour la stabilité après cette décennie noire que nous ne sommes pas près d'oublier et de laquelle nous avons ainsi à tirer les enseignements qu'il faut pour consolider la souveraineté de notre pays.» Et il n'a pas manqué «d'appeler tous les Algériennes et les Algériens à aller voter en masse et relever le défi qui s'impose».Dans une ville parée de ses plus beaux atours sous un merveilleux temps printanier, nous avons rencontré quelques adolescents qui s'apprêtaient à voter pour la première fois. «Heureux comme je ne l'ai jamais été», nous a déclaré Riadh en brandissant sa carte d'électeur. «Je n'ai jamais voté, mais mon âge me permet de le faire maintenant. Je me sens citoyen à part entière. J'ai accompli mon devoir avec âme et conscience.Nous aimons l'Algérie, notre seul et unique pays, nous n'avons pas de pays de rechange. Et comme l'ont fait nos martyrs, nous veillerons à préserver notre pays, le seul que nous ayons.» Après «une campagne électorale qui s'est déroulée normalement», comme l'a souligné le directeur de communication, Ahmed Bensabane, l'heure sera à la parole du peuple qui se prononcera en toute transparence. Le dépouillement est un moment particulièrement intéressant.Sur un tableau, c'est inscrit le taux de participation estimé à plus de 51%. Même si que l'optimisme se lit sur les visages l'ensemble des présents au quartier général du candidat du Front El Moustakbal, il reste que le suspense est de la partie. Chacun essaye d'alimenter l'ambiance qui commence à perdre son ampleur, devant un parterre de journalistes qui attend une telle ou telle déclaration du candidat Belaid, ou l'un de ses portes paroles.A cet effet, le directeur de compagne du candidat Abdelaziz Belaid, Abdellah El Oyafi, a révélé lors de ce point de presse improvisé un peu plus tard dans la nuit, que le candidat du Front El Moustakbal, occupe la seconde place, après celle occupée par le candidat président Bouteflika et ce à travers la majorité des wilayas du territoire national, et ce, en attendant les résultats officiels du ministre de intérieur et le conseil constitutionnel. Le même interlocuteur, a souligné que quelques dépassements organiques, matériels et d'autres juridiques ont été enregistrés durant le scrutin. En attendant les résultats officiels qui seront annoncés par les ministère de l'intérieur et les conseil constitutionnel, la situation est en stand by, et le rêve est permis... wait and see .
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Posté Le : 19/04/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Idir Ammour
Source : www.lemidi-dz.com