Algérie

Les militants empêchés de manifester devant le siège du Parlement Maroc, mouvement du 20 fevrier



Les forces de sécurité marocaines ont empêché, dimanche soir, des militants du mouvement du 20 Février qui ont organisé une marche à partir d'un quartier populaire de Rabat d'atteindre le Parlement situé au centre-ville pour réitérer leurs revendications de changements démocratiques au Maroc.
Environ 3.000 personnes ont pris part à une marche qui s'est ébranlée en fin d'après-midi du quartier Yacoub el Mansour "pour scander notamment Boycottons les élections" en référence aux législatives du 25 novembre prochain, "à bas la corruption", "non à la cherté de la vie" "mamfakinch" (nous ne cesserons pas) et "vive le peuple".
La manifestation a regroupé de nombreux islamistes de l'association Al-Adl Wa Ihsan (Justice et bienfaisance) qui ont crié à plusieurs reprises et pour la première fois "Allah Akbar" auxquels ont répondu les militants de gauche par les slogans "liberté, dignité, justice sociale".
Une forte présence de cadres-chômeurs a été remarquée lors de cette marche au cours de laquelle ils ont réclamé des emplois et leur intégration dans la vie active.
Dans une déclaration à l'APS, le coordinateur du Conseil marocain d'appui au mouvement du 20 Février (CNAM20), Mohamed El-Aouni a fait remarquer que "la journée d'aujourd'hui (dimanche) coïncidait avec le premier scrutin démocratique d'une assemblée constituante en Tunisie et la proclamation de libération totale de la Libye".
Il a ajouté que l'action du mouvement du 20 Février, initiateur depuis huit mois de manifestations et de marches à travers le Maroc pour réclamer des changements démocratiques, "s'inscrivait dans le sillage du mouvement d'émancipation né dans le monde arabe et allant dans le sens de la consécration de systèmes démocratiques".
C'est la huitième journée nationale de manifestations à travers l'ensemble des villes marocaines qu'organise le mouvement du 20 Février qui tire son appellation de la date des premières grandes marches, il y a huit mois.
Cette marche a été soutenue par le CNAM20, l'Association marocaine des droits humains (AMDH), des partis de la gauche radicale et par des associations de la société civile
Des marches similaires étaient également organisées dans les grandes agglomérations marocaines notamment à Casablanca, Tanger, Marrakech, Oujda, Safi, Hoceima, a-t-on appris auprès de militants du mouvement.
Les forces de sécurité marocaines ont empêché, dimanche soir, des militants du mouvement du 20 Février qui ont organisé une marche à partir d'un quartier populaire de Rabat d'atteindre le Parlement situé au centre-ville pour réitérer leurs revendications de changements démocratiques au Maroc.
Environ 3.000 personnes ont pris part à une marche qui s'est ébranlée en fin d'après-midi du quartier Yacoub el Mansour "pour scander notamment Boycottons les élections" en référence aux législatives du 25 novembre prochain, "à bas la corruption", "non à la cherté de la vie" "mamfakinch" (nous ne cesserons pas) et "vive le peuple".
La manifestation a regroupé de nombreux islamistes de l'association Al-Adl Wa Ihsan (Justice et bienfaisance) qui ont crié à plusieurs reprises et pour la première fois "Allah Akbar" auxquels ont répondu les militants de gauche par les slogans "liberté, dignité, justice sociale".
Une forte présence de cadres-chômeurs a été remarquée lors de cette marche au cours de laquelle ils ont réclamé des emplois et leur intégration dans la vie active.
Dans une déclaration à l'APS, le coordinateur du Conseil marocain d'appui au mouvement du 20 Février (CNAM20), Mohamed El-Aouni a fait remarquer que "la journée d'aujourd'hui (dimanche) coïncidait avec le premier scrutin démocratique d'une assemblée constituante en Tunisie et la proclamation de libération totale de la Libye".
Il a ajouté que l'action du mouvement du 20 Février, initiateur depuis huit mois de manifestations et de marches à travers le Maroc pour réclamer des changements démocratiques, "s'inscrivait dans le sillage du mouvement d'émancipation né dans le monde arabe et allant dans le sens de la consécration de systèmes démocratiques".
C'est la huitième journée nationale de manifestations à travers l'ensemble des villes marocaines qu'organise le mouvement du 20 Février qui tire son appellation de la date des premières grandes marches, il y a huit mois.
Cette marche a été soutenue par le CNAM20, l'Association marocaine des droits humains (AMDH), des partis de la gauche radicale et par des associations de la société civile
Des marches similaires étaient également organisées dans les grandes agglomérations marocaines notamment à Casablanca, Tanger, Marrakech, Oujda, Safi, Hoceima, a-t-on appris auprès de militants du mouvement.


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