Algérie

Les merveilles du miracle numérique de la Sourate Al-Kahf (La Caverne) Ci-après des réalités numériques qui prouvent le miracle numérique du Coran dans la Sourate Al-Kahf et affirment l'authenticité de l'Islam.



Les merveilles du miracle numérique de la Sourate Al-Kahf (La Caverne)                                    Ci-après des réalités numériques qui prouvent le miracle numérique du Coran dans la Sourate Al-Kahf et affirment l'authenticité de l'Islam.
L'histoire des hommes de caverne est très étrange. Fuyant l'injustice de leur roi, ces jeunes gens se sont réfugiés dans une caverne, invoquant Allah l'Exalté pour leur assurer la droiture dans toutes leurs affaires. En effet, Allah l'Exalté les a honorés en faisant descendre une Sourate portant le nom de 'Al-Kahf", devenus ainsi un miracle pour ceux qui sont venus après.
Cependant, les douteurs ne cesse de critiquer le texte coranique en disant que le Coran est une production humaine, et que c'est une légende, étant donné que les gens ne peuvent dormir et se réveiller après trois cent neuf (309) ans. Allah est plus Haut et infiniment au-dessus de ce qu'ils disent.
Je suis certain que les miracles du Coran ne peuvent être dissociés. Effectivement, le miracle numérique suit le même principe que le miracle linguistique, et tous deux se basent sur les lettres et les chiffres, donc, il est possible de tirer un miracle numérique à partir du sens des versets !
L'histoire des hommes de caverne en est d'ailleurs un exemple pertinent. En effet, nous savons tous que les hommes de caverne demeurèrent dans leur caverne trois cent neuf (309) ans, selon la parole d'Allah le Très-Haut : 'Or, ils demeurèrent dans leur caverne trois cents ans et en ajoutèrent neuf (années)" (Al-Kahf (La Caverne) : 25).
Cette histoire débute par Sa parole, le Très-Haut : 'Penses-tu que les gens de la Caverne et d'ar-Raquim ont constitué une chose extraordinaire d'entre Nos prodiges' * Quand les jeunes se furent réfugiés dans la caverne, ils dirent : 'Ô notre Seigneur, donne-nous de Ta part une miséricorde; et assure-nous la droiture dans tout ce qui nous concerne' * Alors, Nous avons assourdi leurs oreilles, dans la caverne, pendant de nombreuses années * Ensuite, Nous les avons ressuscités afin de savoir lequel des deux groupes saurait le mieux calculer la durée exacte de leur séjour (Al-Kahf (La Caverne) : 9-12) et conclut par : 'Or, ils demeurèrent dans leur caverne trois cent ans et en ajoutèrent neuf (années) * Dis: 'Allah sait mieux combien de temps ils demeurèrent là." (Al-Kahf (la caverne) : 25-26).
Je me suis posé la question suivante : Pourrons-nous trouver un rapport entre le nombre d'années durant lesquelles les hommes de caverne sont restés et le nombre des mots du texte coranique ' Ainsi, nous devons commencer et terminer par un mot exprimant le temps vu que nous représentons le temps par les mots. Nous voulons donc connaître la durée pendant laquelle ils 'demeurèrent" de l'arabe 'Labithoû", terme clé du miracle.
J'ai tant cherché pour découvrir le secret de cette histoire. Certains savants essayèrent de trouver un lien entre le nombre des mots dans l'histoire et le nombre trois cent neuf (309). Cependant, j'ai adopté un nouveau procédé beaucoup plus clair et non douteux.
D'ailleurs, c'était une surprise lorsque j'ai compté les mots en considérant la conjonction de coordination 'et" comme un mot indépendant du fait qu'elle s'écrit séparément des mots se trouvant avant et après (voir l'encyclopédie des miracles numériques).
En considérant l'histoire dans le texte du Noble Coran du début jusqu'à la fin, nous constatons que le signe coranique du temps apparaÎt la première fois dans le douzième (12e) verset, symbolisé par le terme 'Labithoû" (demeurèrent), et la dernière fois dans le vingt-sixième (26e) verset.
Ainsi, nous avons compté le nombre des mots (y compris la conjonction de coordination 'et") en commençant par le premier terme 'Labithoû" (demeurèrent) jusqu'au dernier même terme 'Labithoû" (demeurèrent). Le plus surprenant est que le résultat est identique au nombre d'années durant lesquelles les hommes de caverne sont restés, cela dit trois cent neuf (309) !!!
En effet, c'était une surprise extraordinaire de trouver que le nombre des mots comptés du premier au dernier mot 'Labithoû" (demeurèrent) est de trois cent neuf (309) et soit égal à la durée passée à la caverne. Donc, cela ne peut être un hasard mais un miracle confirmé également par l'expression 'Thal tha mi 'atin" (trois cents) dans le texte coranique qui correspondait au nombre trois cents (300) dans le dénombrement des mots (voir le tableau ci-dessus).
Ainsi, nous confirmons encore une fois la cohérence entre le sens linguistique du mot et les chiffres qui le symbolisent.


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