Les médecins résidents ont affirmé, hier, être "en colère et déçus de la tournure que prennent les événements".Les médecins résidents ont affirmé, hier, être "en colère et déçus de la tournure que prennent les événements".
Dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion au ministère de la Santé, le Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra) a déploré "l'absence du ministre à la table des négociations du fait de son déplacement en dehors du pays en cette période de crise et qu'aucune contre-proposition n'ait été soumise". Le collectif regrette de "se retrouver à la table des négociations avec un comité de réflexion sans aucun pouvoir décisionnel". Il évoque "la publication de comptes rendus impropres à ce qui se passe et se dit durant les réunions".
Le Camra critique "d'avoir à discuter ses revendications durant des réunions éparses plutôt que de les discuter en bloc pendant trois jours consécutifs". Le collectif déplore la lenteur des négociations, "ce qui se répercute malheureusement sur le malade en premier".
À l'issue de la rencontre au ministère de la Santé, les médecins résidents et leurs représentants se sont rassemblés comme prévu au CHU Mustapha- Bacha. Après l'affichage d'une instruction dministrative dans les établissements hospitaliers avant-hier lundi leur exigeant de reprendre "immédiatement et sans condition" le travail de façon normale, les médecins résidents menacent désormais de ne pas assurer le service minimum à travers tout le territoire national, a rapporté TSA Arabi qui cite un représentant de la Coordination des médecins résidents du CHU Mustapha-Bacha. Le secrétaire général du ministère de la Santé a adressé, avant-hier, une instruction aux directeurs de santé de wilayas et aux directeurs des établissements publics de santé.
Dans le document, il rappelle aux responsables sa note précédente où il leur demande de "prendre les dispositions réglementaires qui s'imposent et ce, conformément à la législation et à la réglementation en vigueur, à savoir notamment la ponction sur rémunérations au prorata des journées non travaillées".
Dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion au ministère de la Santé, le Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra) a déploré "l'absence du ministre à la table des négociations du fait de son déplacement en dehors du pays en cette période de crise et qu'aucune contre-proposition n'ait été soumise". Le collectif regrette de "se retrouver à la table des négociations avec un comité de réflexion sans aucun pouvoir décisionnel". Il évoque "la publication de comptes rendus impropres à ce qui se passe et se dit durant les réunions".
Le Camra critique "d'avoir à discuter ses revendications durant des réunions éparses plutôt que de les discuter en bloc pendant trois jours consécutifs". Le collectif déplore la lenteur des négociations, "ce qui se répercute malheureusement sur le malade en premier".
À l'issue de la rencontre au ministère de la Santé, les médecins résidents et leurs représentants se sont rassemblés comme prévu au CHU Mustapha- Bacha. Après l'affichage d'une instruction dministrative dans les établissements hospitaliers avant-hier lundi leur exigeant de reprendre "immédiatement et sans condition" le travail de façon normale, les médecins résidents menacent désormais de ne pas assurer le service minimum à travers tout le territoire national, a rapporté TSA Arabi qui cite un représentant de la Coordination des médecins résidents du CHU Mustapha-Bacha. Le secrétaire général du ministère de la Santé a adressé, avant-hier, une instruction aux directeurs de santé de wilayas et aux directeurs des établissements publics de santé.
Dans le document, il rappelle aux responsables sa note précédente où il leur demande de "prendre les dispositions réglementaires qui s'imposent et ce, conformément à la législation et à la réglementation en vigueur, à savoir notamment la ponction sur rémunérations au prorata des journées non travaillées".
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Posté Le : 31/01/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : RAHIMA RAHMOUNI
Source : www.lemidi-dz.com