En février 2003, Colin Powell, ministre américain des Affaires étrangères, accusera l'Irak de produire et de stocker le bacille de l'anthrax, sans toutefois faire un rapprochement explicite avec les cas observés aux USA.De toute façon, les médias savent depuis le premier jour que c'est lui qui a fait le coup. Il est donc grand temps de riposter par une nouvelle guerre... Les Etats-Unis, toujours prompts à reprocher aux « dictateurs » étrangers le développement, la production et le stockage d'armes bactériologiques, sont en fait les champions en la matière. Bien qu'ayant ratifié la convention internationale de Genève de 1972, qui devait régler ce problème, ils n'en n'ont jamais respecté les modalités. Aller vérifier chez les autres, d'accord; permettre une vérification chez soi, jamais ! Comme dans bien d'autres domaines (traité de non-prolifération, protocole de Kyoto, cour pénale internationale, etc.), les USA ne se sentent nullement tenus par leurs engagements. La fameuse « communauté internationale », si souvent invoquée depuis quelques années, est considérée par les gendarmes du monde comme quantité négligeable et méprisable, dans la mesure où elle ne s'aligne pas inconditionnellement sur eux. (Informations détaillées disponibles sur le site du Sunshine Project). Suite à cela, on a enregistré une série de « suicides » de chercheurs américains ou anglais dans les milieux se consacrant à la guerre biologique. Qu'en est-il maintenant du virus Ebola' En août 2014, une épidémie d'Ebola est signalée en Afrique occidentale (Sierra Leone, Liberia, Guinée). Le virus, relativement nouveau, a été « découvert » au Zaïre (Congo) en 1976. Depuis quelques décennies, les « pro-grès » de la médecine et de la manipulation génétique ont permis l'apparition de maladies inexistantes auparavant (à commencer par le SIDA). Pas besoin d'être sorcier africain pour deviner que la plupart d'entre elles sortent de laboratoires (situés hors d'Afrique). Dans un article intitulé « Ebola, AIDS Manufactured by Western Pharmaceuticals, US DoD ' », Cyril Broderick, ancien professeur à l'Université du Liberia, pense que ces maladies ont été fabriquées par l'industrie pharmaceutique occidentale et le Pentagone, et qu'il s'agit d'armes biologiques testées en premier lieu sur les Africains dans le cadre de programmes de dépopulation. Sont impliqués, avec la complicité de l'OMS (Organisation mondiale de la Santé) et de Médecins sans frontières : l'USAMRIID (US Army Medical Research Institute for Infectious Diseases) de Fort Detrick, Maryland, l'Université Tulane de La Nouvelle-Orléans, l'US Center for Disease Control (CDC) d'Atlanta, Tekmira Pharmaceuticals de Vancouver, GlaxoSmithKline (GSK) de Londres, etc. Cela dit, la question qui mérite méditation c'est : comment propager l'épidémie tout en faisant semblant de la combattre ». (suite et fin)
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Posté Le : 16/11/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : C A
Source : www.lnr-dz.com