Du plus loin que l’on remonte dans l’histoire de l’enseignement universitaire Algérien, en particulier celui de la traduction, la langue de spécialité n’a pas fait l’objet de plusieurs études. Il est donc utile de revenir sur ce sujet en essayant, d’abord, de dresser un bilan sur ce qui se fait actuellement dans les départements de traduction et les nouvelles écoles doctorales de langues de spécialités.
De part ma formation en langues étrangères, notamment Anglaise et Française, ainsi que ma modeste contribution d’enseignant dans les départements d’anglais, de français et de traduction (assurant différents modules notamment ceux relatifs à la langue de spécialité pour les étudiants en traduction et le F.O.S pour les étudiants en LMD lettres arabes), j’interviens à travers la présente réflexion pour, d’une part, reprendre un cadrage des comportements cognitifs présentés par les étudiants soumis à l’apprentissage d’un tel module, et, d’autre part, essayer de faire des propositions quant à l’enseignement de la langue de spécialité tout en tenant compte du type d’étudiants qu’on a en face.
Il est donc nécessaire de rappeler que l’enseignement d’une langue repose sur la synthèse d’un ensemble d’apprentissages (oral, compréhension, technique de l’écrit, pratique de la langue, lecture critique, etc.).
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Posté Le : 08/06/2022
Posté par : einstein
Ecrit par : - Belabes Missouri
Source : الحوار المتوسطي Volume 3, Numéro 1, Pages 48-50 2012-03-10