Algérie

Les Koweïtiens intéressés Investissement dans le médicament, l'industrie et les services


La délégation koweïtienne conduite par Cheikh Hamad Sabah Al-Ahmad Sabah, président du Conseil d'administration de la société Koweït Projects Compagny (Kipco), en visite à Alger, a manifesté un "grand intérêt" pour l'investissement dans plusieurs secteurs en Algérie, notamment la fabrication de médicaments, l'électronique, les finances, l'hôtellerie et la promotion immobilière, ont indiqué mardi des ministres algériens.
«Il y a un intérêt très grand de la délégation koweïtienne pour investir dans la banque, l'assurance, le leasing et le capital investissement", a déclaré à la presse le ministre des Finances, M. Karim Djoudi, à l'issue d'une réunion de travail tenue avec Cheik Hamad Sabah et à laquelle ont assisté des investisseurs koweïtiens.
«Il y a une forte volonté de nos amis Koweïtiens d'être présents et de participer, en partenariat avec des investisseurs algériens, à une croissance plus forte dans différents secteurs comme la santé, l'immobilier et les matériaux de construction", a-t-il ajouté.
La partie algérienne a, notamment, tenté "d'expliquer aux investisseurs koweïtiens la nécessité que leurs (futurs) investissements en Algérie soient rentables évidemment, mais qu'ils apportent surtout une réponse aux populations en termes de nature de financement et de disponibilité sur l'ensemble du territoire", a-t-il fait savoir.
Il ne s'agira pas "d'ouvrir une agence bancaire, par exemple, dans un lieu où existe une forte profitabilité mais il s'agit d'être présent sur l'ensemble du territoire, chose qu'ils (les Koweïtiens) ont très bien comprise", selon l'argentier du pays.
Juste un besoin d'explication !
A la question de savoir si la législation sur l'investissement en Algérie, notamment la règle 49-51 "dérangeait" les Koweïtiens, M. Djoudi a assuré qu'il "il n' y avait pas de réticence mais juste un besoin d'explications". Pour M. Djoudi, les investisseurs koweïtiens "n'ont jamais vu un retour d'investissement aussi fort dans le domaine bancaire, des assurances ou dans d'autres domaines comme celui existant en Algérie et ils n'ont pas besoin qu'on leur explique plus cela". A son tour, le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, M. Mohamed Benmeradi, a assuré, à la fin de sa rencontre avec la délégation koweïtienne, que cette réunion était "très intéressante et très fructueuse". «Nous avons, d'abord, passé en revue un certain nombre de craintes qui étaient chez eux, notamment concernant la règle 51-49%, nous avons ensuite examiné des domaines d'investissement potentiel", a-t-il déclaré à la presse.
Les Koweïtiens sont "prêts à investir très rapidement dans le médicament", selon M. Benmeradi qui a indiqué qu'une "réunion retreinte devait se tenir, hier (mercredi) entre la délégation koweïtienne et le groupe Saïdal".
Le secteur de l'électronique, notamment la fabrication de générateurs électriques, les services, le tourisme, l'hôtellerie et la promotion immobilière de haut standing intéressent aussi les Koweïtiens, a affirmé M. Benmeradi. «Dans le cadre de l'aménagement de la ville d'Alger, il y aura aussi des projets de partenariat potentiels", a-t-il ajouté.
Les investisseurs koweïtiens sont déjà "très bien installés en Algérie", selon M. Benmeradi, puisqu'ils sont présents dans les télécommunications, à travers la compagnie Watania et dans les banques par le biais de la Housing Bank et AGB, deux banques parmi "les plus importantes en Algérie", selon les propos du ministre.
Evoquant, par ailleurs, le projet Renault, il a fait savoir qu'une "délégation algérienne s'est rendue mardi, à Paris, pour poursuivre les discussions sur le projet" qui a "bien avancé".
Une délégation du constructeur automobile français doit, à son tour, se rendre dans les prochains jours à Alger pour poursuivre les négociations sur cet ambitieux projet, a-t-il fait savoir.
Une troisième réunion de travail a, également, réuni la délégation koweïtienne avec le président-directeur général de la Sonatrach, M. Nouredine Cherouati.
La délégation koweïtienne conduite par Cheikh Hamad Sabah Al-Ahmad Sabah, président du Conseil d'administration de la société Koweït Projects Compagny (Kipco), en visite à Alger, a manifesté un "grand intérêt" pour l'investissement dans plusieurs secteurs en Algérie, notamment la fabrication de médicaments, l'électronique, les finances, l'hôtellerie et la promotion immobilière, ont indiqué mardi des ministres algériens.
«Il y a un intérêt très grand de la délégation koweïtienne pour investir dans la banque, l'assurance, le leasing et le capital investissement", a déclaré à la presse le ministre des Finances, M. Karim Djoudi, à l'issue d'une réunion de travail tenue avec Cheik Hamad Sabah et à laquelle ont assisté des investisseurs koweïtiens.
«Il y a une forte volonté de nos amis Koweïtiens d'être présents et de participer, en partenariat avec des investisseurs algériens, à une croissance plus forte dans différents secteurs comme la santé, l'immobilier et les matériaux de construction", a-t-il ajouté.
La partie algérienne a, notamment, tenté "d'expliquer aux investisseurs koweïtiens la nécessité que leurs (futurs) investissements en Algérie soient rentables évidemment, mais qu'ils apportent surtout une réponse aux populations en termes de nature de financement et de disponibilité sur l'ensemble du territoire", a-t-il fait savoir.
Il ne s'agira pas "d'ouvrir une agence bancaire, par exemple, dans un lieu où existe une forte profitabilité mais il s'agit d'être présent sur l'ensemble du territoire, chose qu'ils (les Koweïtiens) ont très bien comprise", selon l'argentier du pays.
Juste un besoin d'explication !
A la question de savoir si la législation sur l'investissement en Algérie, notamment la règle 49-51 "dérangeait" les Koweïtiens, M. Djoudi a assuré qu'il "il n' y avait pas de réticence mais juste un besoin d'explications". Pour M. Djoudi, les investisseurs koweïtiens "n'ont jamais vu un retour d'investissement aussi fort dans le domaine bancaire, des assurances ou dans d'autres domaines comme celui existant en Algérie et ils n'ont pas besoin qu'on leur explique plus cela". A son tour, le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, M. Mohamed Benmeradi, a assuré, à la fin de sa rencontre avec la délégation koweïtienne, que cette réunion était "très intéressante et très fructueuse". «Nous avons, d'abord, passé en revue un certain nombre de craintes qui étaient chez eux, notamment concernant la règle 51-49%, nous avons ensuite examiné des domaines d'investissement potentiel", a-t-il déclaré à la presse.
Les Koweïtiens sont "prêts à investir très rapidement dans le médicament", selon M. Benmeradi qui a indiqué qu'une "réunion retreinte devait se tenir, hier (mercredi) entre la délégation koweïtienne et le groupe Saïdal".
Le secteur de l'électronique, notamment la fabrication de générateurs électriques, les services, le tourisme, l'hôtellerie et la promotion immobilière de haut standing intéressent aussi les Koweïtiens, a affirmé M. Benmeradi. «Dans le cadre de l'aménagement de la ville d'Alger, il y aura aussi des projets de partenariat potentiels", a-t-il ajouté.
Les investisseurs koweïtiens sont déjà "très bien installés en Algérie", selon M. Benmeradi, puisqu'ils sont présents dans les télécommunications, à travers la compagnie Watania et dans les banques par le biais de la Housing Bank et AGB, deux banques parmi "les plus importantes en Algérie", selon les propos du ministre.
Evoquant, par ailleurs, le projet Renault, il a fait savoir qu'une "délégation algérienne s'est rendue mardi, à Paris, pour poursuivre les discussions sur le projet" qui a "bien avancé".
Une délégation du constructeur automobile français doit, à son tour, se rendre dans les prochains jours à Alger pour poursuivre les négociations sur cet ambitieux projet, a-t-il fait savoir.
Une troisième réunion de travail a, également, réuni la délégation koweïtienne avec le président-directeur général de la Sonatrach, M. Nouredine Cherouati.
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