Algérie

Les journalistes crient leur ras-le-bol



manifesté avant-hier jeudi, au niveau de la place de la Liberté de la presse. A traversce rassemblement, les journalistes onttenu à dénoncer les pressions qu'ils subissentquant à la couverture desmanifesté avant-hier jeudi, au niveau de la place de la Liberté de la presse. A traversce rassemblement, les journalistes onttenu à dénoncer les pressions qu'ils subissentquant à la couverture des
événementsque vit le pays à l'approche de la présidentielledu 18 avril et notamment, les dernièresmanifestations organisées ça et là.Ils ont revendiqué le droit au libre exercicede la profession et la consécration du principedu service public. Cette dernièredoléance émane des journalistes des médiaspublics. Encadrés par un dispositif desécurité renforcé, les journalistes ontscandé des slogans pour "l'ancrage desprincipes de la démocratie et de la liberté d'expression, garantis par la Constitution,ainsi que la facilitation de la mission desjournalistes en matière de traitement despréoccupations de la société, dans tous les domaines".
Cette manifestation a été empêchée par les forces de l'ordre qui ont usé de la force pour disperser les manifestants, dont certains ont été blessés. Par ailleurs, une trentaine de journalistes ont été interpellés avant d'être relâchés par la suite. Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, s'est rendu à la Place de la Liberté de la presse, où il a échangé "en toute convivialité" avec quelques journalistes sur place, sur le principe de la liberté d'expression.
Questionné par des représentants de médias, le ministre a tenu à rappeler, que celle-ci était "garantie par la Constitution, que le président Bouteflikaavait fait réviser" et qu'il était du droit desjournalistes de les défendre. Le ministre n'a ajouté que "la liberté d'expression est une réalité indéniable, qui est parfoisentravée par certains représentants de l'administration,qui ont du mal, parfois, à se mettre au diapason de la vision du Président, en matière de liberté d'expression",a-t-il répondu.
événementsque vit le pays à l'approche de la présidentielledu 18 avril et notamment, les dernièresmanifestations organisées ça et là.Ils ont revendiqué le droit au libre exercicede la profession et la consécration du principedu service public. Cette dernièredoléance émane des journalistes des médiaspublics. Encadrés par un dispositif desécurité renforcé, les journalistes ontscandé des slogans pour "l'ancrage desprincipes de la démocratie et de la liberté d'expression, garantis par la Constitution,ainsi que la facilitation de la mission desjournalistes en matière de traitement despréoccupations de la société, dans tous les domaines".
Cette manifestation a été empêchée par les forces de l'ordre qui ont usé de la force pour disperser les manifestants, dont certains ont été blessés. Par ailleurs, une trentaine de journalistes ont été interpellés avant d'être relâchés par la suite. Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, s'est rendu à la Place de la Liberté de la presse, où il a échangé "en toute convivialité" avec quelques journalistes sur place, sur le principe de la liberté d'expression.
Questionné par des représentants de médias, le ministre a tenu à rappeler, que celle-ci était "garantie par la Constitution, que le président Bouteflikaavait fait réviser" et qu'il était du droit desjournalistes de les défendre. Le ministre n'a ajouté que "la liberté d'expression est une réalité indéniable, qui est parfoisentravée par certains représentants de l'administration,qui ont du mal, parfois, à se mettre au diapason de la vision du Président, en matière de liberté d'expression",a-t-il répondu.


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