Ces jardins entourent la ville de trois côtés. L’Oued-M’zi la contourne en décrivant comme eux trois quarts de cercle; son lit est large; il est contenu, du côté des jardins, par une berge élevée, de terre rougeâtre, sans cailloux; de l’autre, il paraît s’étendre assez loin dans la plaine, au moment de la crue des eaux; mais, dans cette saison de sécheresse, il devient inutile, et n’arrose ni ne protège plus rien. On n’y voit pas la moindre place humide. De même qu’à El-Aghouat, il disparaît sous le sable pour ne se montrer qu’à l’époque des pluies.
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Posté Le : 16/08/2006
Posté par : hichem
Source : www.ciheam.org