Coup dur pour les concessionnaires automobiles et les importateurs multimarques. Ces derniers ont été très surpris par la déclaration de Abdelmalek Sellal, Premier ministre, lors de son passage à l'émission télévisée "Hiwar Essaâ" diffusée à la Télévision algérienne.Coup dur pour les concessionnaires automobiles et les importateurs multimarques. Ces derniers ont été très surpris par la déclaration de Abdelmalek Sellal, Premier ministre, lors de son passage à l'émission télévisée "Hiwar Essaâ" diffusée à la Télévision algérienne.Espérant mettre sur le marché un bon quota de véhicules, les concessionnaires ont été réellement frappés par la « foudre » à l'issue de l'intervention du chef de l'exécutif. En effet, dans le cadre de la rationalisation des dépenses, le Premier ministre a promis de réduire les importations des véhicules, à travers, notamment, l'entrée en vigueur du nouveau cahier des charges. Les premières mesures ont permis de réduire considérablement les importations de véhicules, qui vont s'établir à 150.000 unités en 2015, contre plus de 400.000 en 2014, selon Sellal, ce qui représentera une baisse sensible avoisinant près de 38% par rapport à 2014.« On ne peut plus continuer de financer les usines à l'étranger », réaffirmant ainsi la volonté de l'exécutif de réduire les importations. Il précisera par la même occasion qu'au premier semestre 2015, les importations en véhicules n'ont point dépassé les 50.000 unités. Une manière d'inciter les acteurs du monde automobile en Algérie d'emprunter d'autres voies pour booster l'économie nationale, et cela en procédant au lancement de projets lourds dans ce secteur telle la réalisation d'usine de fabrication de pièces de rechange ou bien des unités de montage.Espérant mettre sur le marché un bon quota de véhicules, les concessionnaires ont été réellement frappés par la « foudre » à l'issue de l'intervention du chef de l'exécutif. En effet, dans le cadre de la rationalisation des dépenses, le Premier ministre a promis de réduire les importations des véhicules, à travers, notamment, l'entrée en vigueur du nouveau cahier des charges. Les premières mesures ont permis de réduire considérablement les importations de véhicules, qui vont s'établir à 150.000 unités en 2015, contre plus de 400.000 en 2014, selon Sellal, ce qui représentera une baisse sensible avoisinant près de 38% par rapport à 2014.« On ne peut plus continuer de financer les usines à l'étranger », réaffirmant ainsi la volonté de l'exécutif de réduire les importations. Il précisera par la même occasion qu'au premier semestre 2015, les importations en véhicules n'ont point dépassé les 50.000 unités. Une manière d'inciter les acteurs du monde automobile en Algérie d'emprunter d'autres voies pour booster l'économie nationale, et cela en procédant au lancement de projets lourds dans ce secteur telle la réalisation d'usine de fabrication de pièces de rechange ou bien des unités de montage.
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Posté Le : 28/07/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Midi Libre
Source : www.lemidi-dz.com