Algérie

"Les harkis ont choisi la France"



Le SG du FLN est revenu sur la polémique relative aux harkis et à leur possible retour en Algérie. "Lesharkis ont choisi la France. Leur dossier est définitivement plié. Il n'y aura pas de retour enarrière", a-t-il affirmé.Le SG du FLN est revenu sur la polémique relative aux harkis et à leur possible retour en Algérie. "Lesharkis ont choisi la France. Leur dossier est définitivement plié. Il n'y aura pas de retour enarrière", a-t-il affirmé.
Le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès, a affirmé, dimanche 19août, que "c'est le présidentBouteflika qui a réhabilité AbaneRamdane et Messali El Hadj".Le SG du FLN, qui a animé un meetingpopulaire au Musée d'Ifri, à Béjaïa, assureque "si on parle aujourd'hui de Abane etde son engagement révolutionnaire, c'estgrâce au courage et à la décision historique de notre cher Président AbdelazizBouteflika d'unir les rangs des moudjahiddineet des chouhada en réhabilitant tousceux qui ont été bannis d'une manière oud'une autre".
Ould Abbès a ensuite longuement parlédu Congrès de la Soummam et de sonarchitecte Abane Ramdane, affirmant que"ce congrès a donné un nouveau souffle àla Révolution en prenant en charge notamment le problème de manqued'armes et de munitions dans les maquisoccupés par les moudjahiddine. Pour lui, le Congrès de la Soummam a été déterminantpour la suite du combat libérateur dujoug colonial". Djamel Ould Abbès a rappeléque c'est lors de ce congrès que la lutte armée a été organisée en 6 régions militaires autonomes.En évoquant cet événement historique,Djamel Ould Abbès a rappelé les grands sacrifices consentis par ceux qui étaient à l'origine du déclenchement de la guerred'Indépendance, à l'instar de Abane et de Ben M'hidi. Le secrétaire général du FLN est revenu dans ce sillage sur la polémique relativeaux harkis et leur possible retour en Algérie. "Les harkis ont choisi la France.
Leur dossier est définitivement plié. Iln'y aura pas de retour en arrière", assène Djamel Ould Abbès, poursuivant : "Les harkis vivent en France en tant que tels et l'Algérie n'a nullement besoin d'eux." Ainsi donc, Djamel Ould Abbès appuie les récents propos du ministre des Moudjahiddine sur le dossier des harkis.Réagissant à une polémique sur le sujet, Tayeb Zitouni avait affirmé que l'Etat algérien "ne céderarien aux harkis". Autrement dit, l'Algérie ne cèdera pas aux pressions du président français Emmanuel Macron pour permettre aux harkis derevenir en Algérie s'ils le désirent. LePrésident Macron avaitappelé, lors de sa visite en décembre 2017, à des gestions part et d'autrepour traiter les questions dela mémoire, faisant allusion aux harkis, toujoursinterdits d'accès au territoire algérien.
Le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès, a affirmé, dimanche 19août, que "c'est le présidentBouteflika qui a réhabilité AbaneRamdane et Messali El Hadj".Le SG du FLN, qui a animé un meetingpopulaire au Musée d'Ifri, à Béjaïa, assureque "si on parle aujourd'hui de Abane etde son engagement révolutionnaire, c'estgrâce au courage et à la décision historique de notre cher Président AbdelazizBouteflika d'unir les rangs des moudjahiddineet des chouhada en réhabilitant tousceux qui ont été bannis d'une manière oud'une autre".
Ould Abbès a ensuite longuement parlédu Congrès de la Soummam et de sonarchitecte Abane Ramdane, affirmant que"ce congrès a donné un nouveau souffle àla Révolution en prenant en charge notamment le problème de manqued'armes et de munitions dans les maquisoccupés par les moudjahiddine. Pour lui, le Congrès de la Soummam a été déterminantpour la suite du combat libérateur dujoug colonial". Djamel Ould Abbès a rappeléque c'est lors de ce congrès que la lutte armée a été organisée en 6 régions militaires autonomes.En évoquant cet événement historique,Djamel Ould Abbès a rappelé les grands sacrifices consentis par ceux qui étaient à l'origine du déclenchement de la guerred'Indépendance, à l'instar de Abane et de Ben M'hidi. Le secrétaire général du FLN est revenu dans ce sillage sur la polémique relativeaux harkis et leur possible retour en Algérie. "Les harkis ont choisi la France.
Leur dossier est définitivement plié. Iln'y aura pas de retour en arrière", assène Djamel Ould Abbès, poursuivant : "Les harkis vivent en France en tant que tels et l'Algérie n'a nullement besoin d'eux." Ainsi donc, Djamel Ould Abbès appuie les récents propos du ministre des Moudjahiddine sur le dossier des harkis.Réagissant à une polémique sur le sujet, Tayeb Zitouni avait affirmé que l'Etat algérien "ne céderarien aux harkis". Autrement dit, l'Algérie ne cèdera pas aux pressions du président français Emmanuel Macron pour permettre aux harkis derevenir en Algérie s'ils le désirent. LePrésident Macron avaitappelé, lors de sa visite en décembre 2017, à des gestions part et d'autrepour traiter les questions dela mémoire, faisant allusion aux harkis, toujoursinterdits d'accès au territoire algérien.


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