Certains quartiers dans la commune de Heuraoua, notamment les coopératives immobilières, sont de nouveau confrontés à des restrictions en matière d'eau potable.Sitôt le Ramadhan passé, bien que des instructions gouvernementales en haut lieu aient instruit les responsables à veiller à «assurer aux citoyens un Ramadhan et un été où l'eau devait couler 24/24», l'heure des restrictions est revenue puisque à certains endroits il faut attendre, comme au bon vieux temps, «deux heures du matin pour voir le robinet couler goutte à goutte», enragent des habitants, soulignant ne pas comprendre que «les nouveaux immeubles ne connaissent pas cette pénurie vraiment bizarroïde».Et d'ajouter sur un ton de colère : «On dirait qu'une fois le Ramadhan terminé, ces organismes ne se sentent plus tenus d'assurer leur mission de service public, qui est celui de fournir l'eau régulièrement à leurs abonnés».Le plus étonnant est qu'Alger devait être au 24/24 depuis un bon moment, comme se plaisent à le répéter depuis un certain temps les responsables de la Seaal.En fait, selon certaines indiscrétions d'employés de cet organisme, les responsables de la Seaal auraient carrément décidé «de diminuer la pression habituelle, et ce, pour parer à certaines fuites dues à des malfaçons dans les raccordements qui pouvaient leur coûter de grosses réprimandes par leur hiérarchie».Mais est-ce «à nous, citoyens, de payer cette incompétence '», s'interrogent les riverains pénalisés par ces restrictions de cette denrée précieuse.
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Posté Le : 07/09/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : M Tchoubane
Source : www.elwatan.com