Algérie

Les «grèves» se payent cash...



Les «grèves» se payent cash...
Tenue en échec par une quelconque équipe de l'Ahly Benghazi, l'Entente, qui perd deux nouveaux points à domicile, hypothèque non seulement ses chances d'aller en demi-finale de la LDC, qui lui tendait pourtant les bras, mais s'engouffre dans un autre tunnel noir. N'ayant rien fait pour aborder la 3e journée de la compétition avec conviction, l'Aigle noir tombe de haut.Il paye ainsi cash les grèves des joueurs qui ont bien profité de la faiblesse de leurs «dirigeants», premiers et principaux responsables du gâchis. Les Nadji, Karaoui, Ziti, Okbi et autres ont failli, tout comme le coach ententiste, Madoui, alors que l'Entente aurait pu aller loin dans une compétition d'un niveau moyen pour ne pas dire médiocre. Mettant entre parenthèse l'intérêt du club qui leur a donné une certaine notoriété, les principaux acteurs oublient l'essentiel, à savoir honorer leurs engagements.Au lieu de retenir les leçons du semi-échec, concédé face au CS Sfax, les Noir et Blanc se payent non seulement un congé de 5 jours mais accentuent la pression pour être payés rubis sur l'ongle. Pour le bien de l'Entente, l'autorité locale a injecté 30 millions de dinars qu'ont empoché des «pros» qui ont la tête ailleurs. N'ayant rien fait devant une formation qui n'a rien d'un ogre, l'Aigle noir, qui a une nouvelle fois laissé son football dans les vestiaires, n'obtient que ce qu'il mérite.Au lieu de mettre à profit les résultats de Radès, les camarades de Khedairia qui ont bien «profité» de l'absence de leur administration, se sont distingués, ces derniers temps, par des préavis et piquets de grève. Le prestige et l'image de marque de l'Entente ont été ainsi souillés par le chantage des uns et les vraies fausses démissions de ses «managers» devant tant qu'il est encore temps, laisser la place à des «secouristes» car l'Entente est par leur faute, à l'agonie?




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