Algérie

Les graves accusations de Messaoud Boudiba



MessaoudBoudiba, porte-parole duCnapeste, a brandi hier de graves accusations contre des responsables de l'Etat qui, dit-il, sans lesidentifier, "cherchent à prolonger la grève dans le secteur de l'Education pour des objectifs que le temps finira par révéler".MessaoudBoudiba, porte-parole duCnapeste, a brandi hier de graves accusations contre des responsables de l'Etat qui, dit-il, sans lesidentifier, "cherchent à prolonger la grève dans le secteur de l'Education pour des objectifs que le temps finira par révéler".
Tout en restant évasif par rapport à ces accusations, Boudiba est, on ne peut plus affirmatif, enrevanche, pour dire que la responsabilité de la crise actuelle incombe, non aux syndicats,mais à la ministre Benghabrit. "Celafait trois ans que le secteur a connu une stabilité, celafait trois ans que nous n'avons pas fait de grève, pourquoi les responsables n'ont pas mis à profit tout ce temps pour régler les problèmesque nous posons aujourd'hui '", se demande-t-il.
Quant à l'avenir, MessaoudBoudiba exclut toute reprise des cours "tant qu'il n'y a pas un vrai dialogue, un dialoguesérieux pour donner suite aux engagementspris par la tutelle et aux accords conclus avec elle, mais pas de dialogue pour reconduire le statu quo. Les enseignants sont responsables et conscients de la situation." Par ailleurs, Messaoud Boudiba a démenti l'information selon laquelle des membres du Cnapeste fontpression sur les élèves pour ne pas assister àdes cours assurés par des enseignants contractuels.
"Ce sont là des accusations graves, si tel est le cas et si les associations des parents d'élèves ont des preuves, elles n'ont qu'àdéposerplainte auniveaude lajustice, comme l'a déjà fait la ministre pour faire déclarer la grève illégale". Le même responsable conteste également la "véracité des informationsselon lesquelles des enseignants grévistes proposeraient aux élèves des cours particuliersmoyennant espèces sonnantes et trébuchantes". Acause de cette grève justement, les prix des cours particuliers ont connu uneflambée fulgurante des tarifs qui varient selon qu'il s'agisse de cours en groupe ou de courspersonnalisés à 3.000 dinars l'heure.
"C'est une atteinte grave au droit de tout élève à la scolarité et à l'égalité des chances, et les enfants dont les parents n'ont pas les moyensde payer", a dénoncé, pour sa part, Azzedine Zerrouk, président de l'Association nationale des parents d'élèves ».
Tout en restant évasif par rapport à ces accusations, Boudiba est, on ne peut plus affirmatif, enrevanche, pour dire que la responsabilité de la crise actuelle incombe, non aux syndicats,mais à la ministre Benghabrit. "Celafait trois ans que le secteur a connu une stabilité, celafait trois ans que nous n'avons pas fait de grève, pourquoi les responsables n'ont pas mis à profit tout ce temps pour régler les problèmesque nous posons aujourd'hui '", se demande-t-il.
Quant à l'avenir, MessaoudBoudiba exclut toute reprise des cours "tant qu'il n'y a pas un vrai dialogue, un dialoguesérieux pour donner suite aux engagementspris par la tutelle et aux accords conclus avec elle, mais pas de dialogue pour reconduire le statu quo. Les enseignants sont responsables et conscients de la situation." Par ailleurs, Messaoud Boudiba a démenti l'information selon laquelle des membres du Cnapeste fontpression sur les élèves pour ne pas assister àdes cours assurés par des enseignants contractuels.
"Ce sont là des accusations graves, si tel est le cas et si les associations des parents d'élèves ont des preuves, elles n'ont qu'àdéposerplainte auniveaude lajustice, comme l'a déjà fait la ministre pour faire déclarer la grève illégale". Le même responsable conteste également la "véracité des informationsselon lesquelles des enseignants grévistes proposeraient aux élèves des cours particuliersmoyennant espèces sonnantes et trébuchantes". Acause de cette grève justement, les prix des cours particuliers ont connu uneflambée fulgurante des tarifs qui varient selon qu'il s'agisse de cours en groupe ou de courspersonnalisés à 3.000 dinars l'heure.
"C'est une atteinte grave au droit de tout élève à la scolarité et à l'égalité des chances, et les enfants dont les parents n'ont pas les moyensde payer", a dénoncé, pour sa part, Azzedine Zerrouk, président de l'Association nationale des parents d'élèves ».


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