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Les forces syriennes ont bombardé samedi la ville rebelle de Homs, tuant plus de 230 civils dans un «massacre terrifiant», a affirmé l'opposition, les Occidentaux restant déterminés à voter un texte à l'ONU condamnant la répression en Syrie malg


Les forces syriennes ont bombardé samedi la ville rebelle de Homs, tuant plus de 230 civils dans un «massacre terrifiant», a affirmé l'opposition, les Occidentaux restant déterminés à voter un texte à l'ONU condamnant la répression en Syrie malg
Les forces syriennes ont bombardé samedi la ville rebelle de Homs, tuant plus de 230 civils dans un «massacre terrifiant», a affirmé l'opposition, les Occidentaux restant déterminés à voter un texte à l'ONU condamnant la répression en Syrie malgré l'opposition de Moscou.
La tuerie à Homs (centre), démentie par le régime syrien, a été condamnée par les capitales occidentales, le président américain Barack Obama accusant le président Bachar al-Assad d' «attaques abominables» contre son peuple et l'appelant une nouvelle fois à quitter le pouvoir.
La Russie, qui préfère un report du vote au Conseil de sécurité contre son allié syrien, a décidé d'envoyer mardi à Damas son chef de la diplomatie Sergueï Lavrov et le chef des renseignements extérieurs russes, Mikhaïl Fradkov, pour tenter de trouver une issue pacifique à la crise.
Au siège de l'ONU à New York, un bras de fer opposait Occidentaux et Russes sur l'opportunité d'un vote dès samedi au Conseil de sécurité sur une résolution condamnant la répression sanglante menée par le régime syrien et réclamant une transition politique.
Les Occidentaux sont «déterminés à voter aujourd'hui», a déclaré l'ambassadeur français, Gérard Araud, à son entrée dans la salle du Conseil. Son collègue britannique, Mark Lyall Grant, a dit «espérer un vote aujourd'hui».
Les ambassadeurs ont désormais des «discussions informelles» avant d'éventuelles consultations formelles qui pourraient mener à un vote, selon des diplomates.
La Russie a d'abord dit par la voix de M. Lavrov, que le projet de résolution ne lui convenait «absolument pas» et proposé des amendements jugés «inacceptables» par les Américains. Puis elle a jugé un consensus possible si les Occidentaux se montraient «constructifs».
Pour M. Obama, le Conseil de sécurité a «à présent l'occasion de s'élever contre la brutalité sans relâche du régime» et «de montrer qu'il est un défenseur crédible des droits universels»
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