Les explications de Ould Kablia Kidnapping du wali d'illizi

«Cette affaire a commencé depuis
l'incarcération à Alger de certaines personnes de la région de Debdeb, qui sont impliqués dans des affaires liées au trafic d'armes ou au soutien logistique aux terroristes comme cela a été prononcé par la justice» a indiqué hier, le ministre de l'Intérieur en marge d'une séance plénière à l'APN. Daho Ould Kablia a donné sa version des faits en précisant que «depuis ce moment, soit un mois, il y a eu des manifestations et des sit-in et le wali s'est déplacé à plusieurs reprises dans cette région pour apaiser les esprits. Il n'a pas pris ses précautions et un groupe en a profité pour effectuer le rapt sans pour autant qu'il y ait eu une intention de le faire. Trois personnes l'ont kidnappé et se sont trouvées dans l'embarras après cet acte, car suite aux poursuites engagées par les forces de sécurité, elles ont pris la fuite en direction de la Libye. Une fois en Libye elles ont été capturées par les «towars» de Zenten qui ont libéré le wali. Par la suite il y a eu des discussions entre les «towars» et la direction centrale à Tripoli et un haut responsable libyen s'est déplacé dans la région. Dès lors il était évident que le wali allait être remis aux autorités nationales, mais il restait seulement à déterminer la manière de le faire, à partir de Deb Deb ou de Tripoli. Le wali a indiqué qu'il n'a pas été maltraité. L'objectif de ce rapt était de faire libérer les prisonniers. C'est un wali qui a pris ses responsabilités pour aller aux devants des problèmes et essayer de les régler ; il était confiant et c'est un incident. On ne peut pas dire qu'il y a eu faille dans le dispositif de sécurité». Ould Kablia n'a pas précisé si l'Etat va demander ces trois kidnappeurs indiquant seulement «patience on vient juste de libérer le wali».Sur le renforcement des mesures de sécurité le ministre dira : «Cela n'a aucun rapport avec la situation dans le Sahel car cette opération s'est déroulée de manière spontanée». Quant à l'éventualité de la libération des prisonniers à l'origine de ce problème le ministre dira : «Ils ont été condamnés par la justice et cela ne concerne pas les autorités administratives».
«Cette affaire a commencé depuis
l'incarcération à Alger de certaines personnes de la région de Debdeb, qui sont impliqués dans des affaires liées au trafic d'armes ou au soutien logistique aux terroristes comme cela a été prononcé par la justice» a indiqué hier, le ministre de l'Intérieur en marge d'une séance plénière à l'APN. Daho Ould Kablia a donné sa version des faits en précisant que «depuis ce moment, soit un mois, il y a eu des manifestations et des sit-in et le wali s'est déplacé à plusieurs reprises dans cette région pour apaiser les esprits. Il n'a pas pris ses précautions et un groupe en a profité pour effectuer le rapt sans pour autant qu'il y ait eu une intention de le faire. Trois personnes l'ont kidnappé et se sont trouvées dans l'embarras après cet acte, car suite aux poursuites engagées par les forces de sécurité, elles ont pris la fuite en direction de la Libye. Une fois en Libye elles ont été capturées par les «towars» de Zenten qui ont libéré le wali. Par la suite il y a eu des discussions entre les «towars» et la direction centrale à Tripoli et un haut responsable libyen s'est déplacé dans la région. Dès lors il était évident que le wali allait être remis aux autorités nationales, mais il restait seulement à déterminer la manière de le faire, à partir de Deb Deb ou de Tripoli. Le wali a indiqué qu'il n'a pas été maltraité. L'objectif de ce rapt était de faire libérer les prisonniers. C'est un wali qui a pris ses responsabilités pour aller aux devants des problèmes et essayer de les régler ; il était confiant et c'est un incident. On ne peut pas dire qu'il y a eu faille dans le dispositif de sécurité». Ould Kablia n'a pas précisé si l'Etat va demander ces trois kidnappeurs indiquant seulement «patience on vient juste de libérer le wali».Sur le renforcement des mesures de sécurité le ministre dira : «Cela n'a aucun rapport avec la situation dans le Sahel car cette opération s'est déroulée de manière spontanée». Quant à l'éventualité de la libération des prisonniers à l'origine de ce problème le ministre dira : «Ils ont été condamnés par la justice et cela ne concerne pas les autorités administratives».