Algérie

les explications de la police



L'affaire du déshabillage de quatre militantes dans un commissariat de police à Alger, a pris de l'ampleur.L'affaire du déshabillage de quatre militantes dans un commissariat de police à Alger, a pris de l'ampleur.
Interpellées samedi dernier par les forces de l'ordre alors qu'elles manifestaientdevant la Grande Poste et conduites au commissariat de Baraki, ces militantes ontété, d'après l'association RAJ, déshabillées et humiliées part la police.
S'en est alorssuivie une cascade de communiqués dénonçantcette action, jugée "inadaptée et inappropriée".La sûreté de wilaya d'Alger arompu le silence hier en communiquant surcette affaire. "La sûreté de la wilayad'Alger dément catégoriquement les allégationscontenues dans un enregistrementvidéo (?) selon lesquelles quatrecitoyennes ont subi des maltraitances" dansle commissariat de Baraki,
a notammentindiqué le communiqué de la sureté dewilaya d'Alger. Selon le communiqué, lesquatre femmes, qui ont été interpellées avecsix autres militants, ont été soumises à "unefouille corporelle, en présence d'une policière",dont le grade a été précisée par lecommuniqué. Ce dernier précise encore que "cette procédure conservatoire vise àdélester la personne de toute matière ououtil qu'elle utilise contre elle-même ou untiers", ajoute le communiqué. Ce dernierprécise encore que ces
"allégations visent àdéformer l'image de l'appareil de sécurité dont les services veillent constamment à garantir le respect des lois de la République, les principes des droits de l'Homme et la préservation de la dignité humaine". On reproche d'ores et déjà au communiqué de n'avoir pas reconnu explicitement que les quatre militantes ont été déshabillées car la notion de "fouille corporelle" reste très vague. Cela dit cette affaire a suscité un tollé général tant les condamnations, émanant des partis ou des associations personnalités ont été multiples.
"Le RAJ dénonce ses comportements d'un autres âge et condamne avec force ces actes qui portent atteinte à la dignité de la personne humaine. Le RAJ considère que cette manière d'agir n'est que de l'intimidation et de la pression inutiles sur les militantesne visant qu'à démobiliser et découragerles Algériens de revendiquer leurs droits à la liberté de manifester et de rassemblement" a indiqué cette association, dans un communiqué. Rappelons que ces militantes sont affiliées à RAJ et au MDS
Interpellées samedi dernier par les forces de l'ordre alors qu'elles manifestaientdevant la Grande Poste et conduites au commissariat de Baraki, ces militantes ontété, d'après l'association RAJ, déshabillées et humiliées part la police.
S'en est alorssuivie une cascade de communiqués dénonçantcette action, jugée "inadaptée et inappropriée".La sûreté de wilaya d'Alger arompu le silence hier en communiquant surcette affaire. "La sûreté de la wilayad'Alger dément catégoriquement les allégationscontenues dans un enregistrementvidéo (?) selon lesquelles quatrecitoyennes ont subi des maltraitances" dansle commissariat de Baraki,
a notammentindiqué le communiqué de la sureté dewilaya d'Alger. Selon le communiqué, lesquatre femmes, qui ont été interpellées avecsix autres militants, ont été soumises à "unefouille corporelle, en présence d'une policière",dont le grade a été précisée par lecommuniqué. Ce dernier précise encore que "cette procédure conservatoire vise àdélester la personne de toute matière ououtil qu'elle utilise contre elle-même ou untiers", ajoute le communiqué. Ce dernierprécise encore que ces
"allégations visent àdéformer l'image de l'appareil de sécurité dont les services veillent constamment à garantir le respect des lois de la République, les principes des droits de l'Homme et la préservation de la dignité humaine". On reproche d'ores et déjà au communiqué de n'avoir pas reconnu explicitement que les quatre militantes ont été déshabillées car la notion de "fouille corporelle" reste très vague. Cela dit cette affaire a suscité un tollé général tant les condamnations, émanant des partis ou des associations personnalités ont été multiples.
"Le RAJ dénonce ses comportements d'un autres âge et condamne avec force ces actes qui portent atteinte à la dignité de la personne humaine. Le RAJ considère que cette manière d'agir n'est que de l'intimidation et de la pression inutiles sur les militantesne visant qu'à démobiliser et découragerles Algériens de revendiquer leurs droits à la liberté de manifester et de rassemblement" a indiqué cette association, dans un communiqué. Rappelons que ces militantes sont affiliées à RAJ et au MDS


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