Les explications de Benbouzid...

Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, a confirmé hier que ses services ont préparé un protocole sanitaire concernant l'éventuelle réouverture des frontières aériennes et terrestres.Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, a confirmé hier que ses services ont préparé un protocole sanitaire concernant l'éventuelle réouverture des frontières aériennes et terrestres.
Le ministre de la Santé a expliqué que le "protocole, qui a été préparé en coordination avec le Comité scientifique pour le suivi de la pandémie Covid- 19 en Algérie, concernant la réouverture de la frontière, sera exposé aujourd'hui, lors de la réunion du Conseil des ministres, présidée par le chef de l'Etat Abdelmadjid Tebboune". Abderrahmane Benbouzid a souligné que "l'ouverture des frontières n'est pas une prérogative du ministère, le président de la République Abdelmadjid Tebboune en est seul décideur, et la dernière décision lui revient".
Une vingtaine de nouvelles contaminations par les variants
Une vingtaine de nouvelles contaminations par les variants du coronavirus ont été dépistées en Algérie, selon le ministre de la Santé, Abderahmane Benbouzid. En visite de travail dans la capitale, il a fait savoir que le dossier sur les variants du Covid-19 "est sur la table du Conseil des ministres", évoquant, une fois de plus, la réouverture des frontières. Le ministre de la Santé effectuait une visite au centre hospitalo-universitaire Mustapha-Pacha à Alger, pour y inaugurer deux nouveaux services. Le ministre expliquera à propos des nouvelles contaminations qu'il "s'agit de ressortissants ayant présenté des PCR négatifs mais qui se sont avérés être contaminés après nos examens". Il n'a, toutefois, pas précisé de quel variant il s'agit ni donné plus de détails. Le Président Abdelmadjid Tebboune avait ordonné aux autorités sanitaires le 27 avril dernier, lors d'une réunion avec le Comité scientifique pour évaluer la situation sanitaire, d'enclencher une étude épidémiologique sur les variants présents en Algérie. Selon le dernier bilan, dévoilé par le même ministre, 14 nouveaux cas du variant indien de coronavirus ont été dépistés en Algérie, soit un total de 20 depuis son dépistage dans le pays.
L'étude épidémiologique sur les variants examinée au Conseil
Interrogé à propos de la réouverture des frontières, le ministre de la Santé a réitéré que cette décision "ne fait pas partie de se prérogatives. En tant que président du Comité et ministre, notre rôle est d'émettre des recommandations et établir les protocoles. Nous avons soumis au Premier ministère nos recommandations qui seront étudiées au Conseil des ministres", a-t-il ajouté. Abderahmane Benbouzid a annoncé, jeudi 13 mai, que le Comité scientifique recommande la réouverture des frontières pour les ressortissants algériens et étrangers sous "certaines conditions". Il a notamment cité un test PCR de moins de 36 heures ou encore 10 jours de quarantaine u frais du concerné en cas de test positif. Des membres du Comité ont ainsi souligné que leur feu vert concerne des Algériens ou des étrangers devant revenir en Algérie pour des raisons professionnelles, expliquant ainsi qu'il ne s'agit pa d'un "retour à la normale" du transport aérien, maritime et terrestre.
Le ministre de la Santé a expliqué que le "protocole, qui a été préparé en coordination avec le Comité scientifique pour le suivi de la pandémie Covid- 19 en Algérie, concernant la réouverture de la frontière, sera exposé aujourd'hui, lors de la réunion du Conseil des ministres, présidée par le chef de l'Etat Abdelmadjid Tebboune". Abderrahmane Benbouzid a souligné que "l'ouverture des frontières n'est pas une prérogative du ministère, le président de la République Abdelmadjid Tebboune en est seul décideur, et la dernière décision lui revient".
Une vingtaine de nouvelles contaminations par les variants
Une vingtaine de nouvelles contaminations par les variants du coronavirus ont été dépistées en Algérie, selon le ministre de la Santé, Abderahmane Benbouzid. En visite de travail dans la capitale, il a fait savoir que le dossier sur les variants du Covid-19 "est sur la table du Conseil des ministres", évoquant, une fois de plus, la réouverture des frontières. Le ministre de la Santé effectuait une visite au centre hospitalo-universitaire Mustapha-Pacha à Alger, pour y inaugurer deux nouveaux services. Le ministre expliquera à propos des nouvelles contaminations qu'il "s'agit de ressortissants ayant présenté des PCR négatifs mais qui se sont avérés être contaminés après nos examens". Il n'a, toutefois, pas précisé de quel variant il s'agit ni donné plus de détails. Le Président Abdelmadjid Tebboune avait ordonné aux autorités sanitaires le 27 avril dernier, lors d'une réunion avec le Comité scientifique pour évaluer la situation sanitaire, d'enclencher une étude épidémiologique sur les variants présents en Algérie. Selon le dernier bilan, dévoilé par le même ministre, 14 nouveaux cas du variant indien de coronavirus ont été dépistés en Algérie, soit un total de 20 depuis son dépistage dans le pays.
L'étude épidémiologique sur les variants examinée au Conseil
Interrogé à propos de la réouverture des frontières, le ministre de la Santé a réitéré que cette décision "ne fait pas partie de se prérogatives. En tant que président du Comité et ministre, notre rôle est d'émettre des recommandations et établir les protocoles. Nous avons soumis au Premier ministère nos recommandations qui seront étudiées au Conseil des ministres", a-t-il ajouté. Abderahmane Benbouzid a annoncé, jeudi 13 mai, que le Comité scientifique recommande la réouverture des frontières pour les ressortissants algériens et étrangers sous "certaines conditions". Il a notamment cité un test PCR de moins de 36 heures ou encore 10 jours de quarantaine u frais du concerné en cas de test positif. Des membres du Comité ont ainsi souligné que leur feu vert concerne des Algériens ou des étrangers devant revenir en Algérie pour des raisons professionnelles, expliquant ainsi qu'il ne s'agit pa d'un "retour à la normale" du transport aérien, maritime et terrestre.