M. Djamel Ouled Abbas, ministre de la santé et de la population a considéré, avec une langue diplomatique, que les événements qu'a enregistrés la rue algérienne, ont été provoqués par la jeunesse en émoi et n'ont aucun rapport avec ce qui se passe dans d'autres lieux, faisant allusion aux événements enregistrés en Tunisie qui ont fait tomber le président Benali.M. Ould Abbas a indiqué, hier, à l'occasion de la clôture de la journée d'études commémorant le décès du docteur et martyr Ben Aouda Ben Zerdjeb, premier médecin martyr de la guerre de libération, organisée dans la salle de conférence de la faculté de médecine à l'université de Tlemcen : « personne ne peut nous embarrasser et personne n'est en mesure de nous donner des leçons », « les algériens devront régler leur problèmes entre eux » a-t-il enchainé.
Le ministre de la santé et de la population et de la réforme hospitalière a enfin estimé que la jeunesse algérienne ne représente aucun risque si on lui fourni les conditions d'une vie digne. Il a, dans ce sillage, rappelé les réalisations de la jeunesse algérienne à Oum Dermane au Soudan.
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Posté Le : 17/01/2011
Posté par : archives
Ecrit par : El Khabar
Source : fr.elkhabar.com