Algérie

Les étudiants toujours mobilisés



Les étudiants sont plus que jamais fidèles au Hirak. Leur détermination pour un changement radical du système semble inébranlable. Preuve en est, hier encore et comme tous les mardis depuis le début du mouvement populaire, ils étaient des milliers à battre le pavé sur l'ensemble du territoire national.Les étudiants sont plus que jamais fidèles au Hirak. Leur détermination pour un changement radical du système semble inébranlable. Preuve en est, hier encore et comme tous les mardis depuis le début du mouvement populaire, ils étaient des milliers à battre le pavé sur l'ensemble du territoire national.
Ainsi, des milliers d'étudiants, qui se sont regroupés à la Place des Martyrs, ont marché hier au centre d'Alger, pour réclamer l'instauration d'un "Etat démocratique et de libertés". Venus des différents campus de la capitale, ces manifestants, qui ont sillonné plusieurs artères de la capitale, ont brandi des pancartes sur lesquelles ils expriment leur aspiration à une "Algérie démocratique et plurielle".
"Djazair hora démocratia (Algérie libre et démocratique)", "Dawla madania machi askariya (Etat civil et non militaire)", "Silmiya, silmiya (pacifique, pacifique)", "Samidin samidin koul thlatha khardjin (Nous résistons et tous les mardis nous sortirons)", sont autant de slogans entonnés par les étudiants, qui restent mobilisés pour faire aboutir leurs revendications, qui sont les mêmes que ceux du Hirak de tous les vendredis. Il s'agit de leur 18e mardi de manifestations, lors duquel ils ont affiché la même détermination et un fort sens de l'organisation. Cela même si, selon des informations, les services de sécurité ont interpellé trois étudiants, pour avoir exhibé l'étendard amazigh durant cette marche. Ces mêmes services de sécurité auraient saisi également des pancartes hostiles au chef d'état-major de l'ANP. Des banderoles géantes sur lesquelles était écrit, entre autres,
"Contre la mafia politico-financière", ont été brandies durant cette marche. Les étudiants n'ont pas marché uniquement à Alger. Ils sont également nombreux à être sortis dans les autres wilayas, pour exiger le départ de tous les symboles du système et l'ouverture d'une période de transition. A Béjaïa, Oran, Constantine, Annaba, Tizi- Ouzou, Bouira, Sétif, Adrar et Ouargla, les étudiants continuaient leur mobilisation pour un changement radical du système de gouvernance, pour un Etat de droit, qui protège et garantit les libertés individuelles et collectives
Ainsi, des milliers d'étudiants, qui se sont regroupés à la Place des Martyrs, ont marché hier au centre d'Alger, pour réclamer l'instauration d'un "Etat démocratique et de libertés". Venus des différents campus de la capitale, ces manifestants, qui ont sillonné plusieurs artères de la capitale, ont brandi des pancartes sur lesquelles ils expriment leur aspiration à une "Algérie démocratique et plurielle".
"Djazair hora démocratia (Algérie libre et démocratique)", "Dawla madania machi askariya (Etat civil et non militaire)", "Silmiya, silmiya (pacifique, pacifique)", "Samidin samidin koul thlatha khardjin (Nous résistons et tous les mardis nous sortirons)", sont autant de slogans entonnés par les étudiants, qui restent mobilisés pour faire aboutir leurs revendications, qui sont les mêmes que ceux du Hirak de tous les vendredis. Il s'agit de leur 18e mardi de manifestations, lors duquel ils ont affiché la même détermination et un fort sens de l'organisation. Cela même si, selon des informations, les services de sécurité ont interpellé trois étudiants, pour avoir exhibé l'étendard amazigh durant cette marche. Ces mêmes services de sécurité auraient saisi également des pancartes hostiles au chef d'état-major de l'ANP. Des banderoles géantes sur lesquelles était écrit, entre autres,
"Contre la mafia politico-financière", ont été brandies durant cette marche. Les étudiants n'ont pas marché uniquement à Alger. Ils sont également nombreux à être sortis dans les autres wilayas, pour exiger le départ de tous les symboles du système et l'ouverture d'une période de transition. A Béjaïa, Oran, Constantine, Annaba, Tizi- Ouzou, Bouira, Sétif, Adrar et Ouargla, les étudiants continuaient leur mobilisation pour un changement radical du système de gouvernance, pour un Etat de droit, qui protège et garantit les libertés individuelles et collectives


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