Algérie

Les étudiants manifestent en force



Les étudiants font montre d'une grande détermination. Voulant le changement radical et le départ de tous les symboles du système, ils maintiennent la pression sur le pouvoir par des grèves, des nmarches et autres rassemblements.Les étudiants font montre d'une grande détermination. Voulant le changement radical et le départ de tous les symboles du système, ils maintiennent la pression sur le pouvoir par des grèves, des nmarches et autres rassemblements.
Ainsi, des milliers d'étudiants ont tenu, hier mardi, un sit-in de protestationà la place de la GrandePoste à Alger, au cours duquel ils ont réitéréleur attachement aux revendicationsdu mouvement populaire qui appelle à unchangement radical du système politiqueet le départ de toutes les anciennes figures, les
"3B" notamment.Venus de différents établissements universitairesd'Alger et des wilayas voisines, lesétudiants se sont rassemblés à la place dela Grande Poste, pour mettre l'accent surl'impératif changement radical du systèmeet l'édification d'une "nouvelle Algérie",qui leur permettra de réaliser leurs ambitions,en tête desquelles l'accès à des postes d'emploi.Les étudiants ont scandé des slogansappelant, dans l'ensemble, au "départ detoutes les anciennes figures du système",exprimant leur rejet du chef de l'Etat,Abdelkader Bensalah, du Premier-ministre,Noureddine Bedoui, du président duConseil constitutionnel, Tayeb Belaiz (qui a présenté sa démission hier mardi), et duprésident de l'Assemblée populaire nationale(APN), Mouad Bouchareb, unerevendication résumée en une seul pancarte,"non aux quatre B".
Dans leurs slogans, les étudiants ont scandé l'impossibilité d'organiser une élection présidentielle en cette conjoncture, appelant à lutter contre la corruption et à demander des comptes aux responsables concernant le pillage des richesses nationales. Drapés de l'Emblème national, les étudiantsont affirmé leur détermination, à poursuivre le boycott des cours à l'université, jusqu'à satisfaction des revendications du mouvement de contestation populaire,en guise de soutien à ce mouvement,étant "une partie indissociable du peuple", ils dit.Par ailleurs, ils ont mis l'accent sur "le caractère pacifique de ce sit-in", en dépitdu déploiement d'un dispositif de sécuritéimposant, autour de la Faculté centrale et au niveau des artères conduisant à laGrande
Poste au début du sit-in. Les éléments de la police se sont retirés par la suite, pour laisser place aux étudiants quise sont rassemblés à la place de la GrandePoste.Plusieurs wilayas du pays ont, par ailleurs,connu, à l'instar d'Alger, des manifestationsoù les étudiants, par dizaines de milliers, ont battu le pavé. À Annaba, Tizi-Ouzou et Constantine, étudiants ont organisé d'imposantesmarches. Tiaret n'était pas en reste, puisque les étudiants ont marché pour réclamer le départ des symboles du pouvoir,et la gestion de la période de transition par les représentants du peuple.
Ainsi, des milliers d'étudiants ont tenu, hier mardi, un sit-in de protestationà la place de la GrandePoste à Alger, au cours duquel ils ont réitéréleur attachement aux revendicationsdu mouvement populaire qui appelle à unchangement radical du système politiqueet le départ de toutes les anciennes figures, les
"3B" notamment.Venus de différents établissements universitairesd'Alger et des wilayas voisines, lesétudiants se sont rassemblés à la place dela Grande Poste, pour mettre l'accent surl'impératif changement radical du systèmeet l'édification d'une "nouvelle Algérie",qui leur permettra de réaliser leurs ambitions,en tête desquelles l'accès à des postes d'emploi.Les étudiants ont scandé des slogansappelant, dans l'ensemble, au "départ detoutes les anciennes figures du système",exprimant leur rejet du chef de l'Etat,Abdelkader Bensalah, du Premier-ministre,Noureddine Bedoui, du président duConseil constitutionnel, Tayeb Belaiz (qui a présenté sa démission hier mardi), et duprésident de l'Assemblée populaire nationale(APN), Mouad Bouchareb, unerevendication résumée en une seul pancarte,"non aux quatre B".
Dans leurs slogans, les étudiants ont scandé l'impossibilité d'organiser une élection présidentielle en cette conjoncture, appelant à lutter contre la corruption et à demander des comptes aux responsables concernant le pillage des richesses nationales. Drapés de l'Emblème national, les étudiantsont affirmé leur détermination, à poursuivre le boycott des cours à l'université, jusqu'à satisfaction des revendications du mouvement de contestation populaire,en guise de soutien à ce mouvement,étant "une partie indissociable du peuple", ils dit.Par ailleurs, ils ont mis l'accent sur "le caractère pacifique de ce sit-in", en dépitdu déploiement d'un dispositif de sécuritéimposant, autour de la Faculté centrale et au niveau des artères conduisant à laGrande
Poste au début du sit-in. Les éléments de la police se sont retirés par la suite, pour laisser place aux étudiants quise sont rassemblés à la place de la GrandePoste.Plusieurs wilayas du pays ont, par ailleurs,connu, à l'instar d'Alger, des manifestationsoù les étudiants, par dizaines de milliers, ont battu le pavé. À Annaba, Tizi-Ouzou et Constantine, étudiants ont organisé d'imposantesmarches. Tiaret n'était pas en reste, puisque les étudiants ont marché pour réclamer le départ des symboles du pouvoir,et la gestion de la période de transition par les représentants du peuple.


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