Après un début de formation qui s'est déroulée dans les meilleures conditions, une inexplicable rupture avec leurs encadreurs pédagogiques a précocement mis fin à leur cursus, à ce jour inachevé. A noter que la remise des avant-projets, devant àªtre sanctionnés par des notes, et la tenue de deux séminaires, indispensables à la validation de la première année, sont depuis une année en suspens.
Bref, tous les ingrédients d'une année universitaire compromise, dès le départ, sont réunis.
« (…) Nous nous trouvons dans une confusion totale, pris par un sentiment d'incompréhension mêlé de révolte (…) car nous ne disposons d'aucun papier officiel (…) précisant notre statut par rapport à l'université à laquelle nous appartenons», lit-on dans une doléance adressée au premier responsable du centre universitaire de Souk Ahras et signée par 15 étudiants. Ces derniers proposent, dans le cas d'une suite défavorable à leur demande, le transfert du groupe à une autre université. Dépité, un des représentants des contestataires dira «Aucun responsable n'a daigné prendre notre problème en charge ou, à défaut, nous donner explication à l'inextricable situation dans laquelle nous nous trouvons.»
Nous n'avons pas pu prendre la déclaration du directeur du centre, Youcef Berriche, absent l'après-midi de mardi dernier. Nous avons tenté une deuxième fois, mercredi, de le contacter par téléphone, mais nous avons appris qu'il était à Ouargla. Orientés vers le responsable de la post-graduation, nous avons vainement essayé d'avoir la version de l'administration à ce sujet.                                                                Â
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Posté Le : 29/10/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : A. Djafri
Source : www.elwatan.com