Algérie

Les entreprises craignent le pire !



Les Associations patronales viennent de tirer la sonnette d'alarme. Les entreprises courent de graves risques de faillite. La pandémie virale n'a épargné, jusque-là, aucun secteur.Les Associations patronales viennent de tirer la sonnette d'alarme. Les entreprises courent de graves risques de faillite. La pandémie virale n'a épargné, jusque-là, aucun secteur.
C' est le cri de détresse de la Confédération des industriels et producteurs algériens, (CIPA), qui renseigne sur les inquiétudes des chefs d'entreprises. Dans une déclaration rendue publique, Abdelwahab Ziani, président de cette Association, alerte les pouvoirs publics que "l'économie nationale est en danger", au point où la pandémie virale a impacté toutes les filières, selon les propos de ce responsable patronal. Pour preuve, certaines entreprises du secteur du bâtiment sont toujours à l'arrêt, depuis le mois de mars, et qui ont engendré, pour rappel, prés de 800.000 pertes d'emploi. Le secteur public, plus au moins épargné, fait face à une baisse de sa cadence avec un maintien au minimum de ces activités.
Et la situation est la même pour le secteur des transports aériens, maritimes et terrestres, la filière textile et cuirs et les industries de transformation. Même le gros commerce subit les revers de la médaille, àtravers un manque de stock d'approvisionnement, étant donné qu'il y a suspension temporaire des activités d'importation des fournitures. Pour sa part, l'Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA) a qualifié, dans un communiqué récent, que "la situation est au bas avec,notamment, un ralentissement des activités qui fait perdre le chiffre d'affaires pour les entreprises".Globalement, la production nationale a reculé à 60%, selon différents experts qui considèrent que "malgré un déconfinement partiel durant ces quelques mois, la situation des entreprises n'a pas amorcé l'équilibre souhaité". Face à ce malaise, les Associations patronales demandent, en urgence, de prendre langue avec les autorités, pour voir de plus prés les mesures à définir pour sauver les entreprises et les emplois.
C'est d'ailleurs cette question qui hante les entreprises qui ne veulent pas aller au licenciement des ressources humaines,dont elle a besoin, dans cette conjoncture particulière. Les patrons d'entreprises demandent au gouvernement, de les aider par des mesures de facilité, dont notamment, le report des charges sociales et des impôts, jusqu'à ce que la situation soit claire. Ils exhortent également le gouvernement, à revoir les crédits bancaires et à débloquer les fonds nécessaires pour que les entreprises ne soient pas à perte, en finançant surtout leurs nouveaux projets. Le patronat estime, que ces mesures pourront atténuer, un tant soit peu, le goulot d'étranglement et de permettre au moins un maintien d'activité hors risque pour les mois à venir.
C' est le cri de détresse de la Confédération des industriels et producteurs algériens, (CIPA), qui renseigne sur les inquiétudes des chefs d'entreprises. Dans une déclaration rendue publique, Abdelwahab Ziani, président de cette Association, alerte les pouvoirs publics que "l'économie nationale est en danger", au point où la pandémie virale a impacté toutes les filières, selon les propos de ce responsable patronal. Pour preuve, certaines entreprises du secteur du bâtiment sont toujours à l'arrêt, depuis le mois de mars, et qui ont engendré, pour rappel, prés de 800.000 pertes d'emploi. Le secteur public, plus au moins épargné, fait face à une baisse de sa cadence avec un maintien au minimum de ces activités.
Et la situation est la même pour le secteur des transports aériens, maritimes et terrestres, la filière textile et cuirs et les industries de transformation. Même le gros commerce subit les revers de la médaille, àtravers un manque de stock d'approvisionnement, étant donné qu'il y a suspension temporaire des activités d'importation des fournitures. Pour sa part, l'Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA) a qualifié, dans un communiqué récent, que "la situation est au bas avec,notamment, un ralentissement des activités qui fait perdre le chiffre d'affaires pour les entreprises".Globalement, la production nationale a reculé à 60%, selon différents experts qui considèrent que "malgré un déconfinement partiel durant ces quelques mois, la situation des entreprises n'a pas amorcé l'équilibre souhaité". Face à ce malaise, les Associations patronales demandent, en urgence, de prendre langue avec les autorités, pour voir de plus prés les mesures à définir pour sauver les entreprises et les emplois.
C'est d'ailleurs cette question qui hante les entreprises qui ne veulent pas aller au licenciement des ressources humaines,dont elle a besoin, dans cette conjoncture particulière. Les patrons d'entreprises demandent au gouvernement, de les aider par des mesures de facilité, dont notamment, le report des charges sociales et des impôts, jusqu'à ce que la situation soit claire. Ils exhortent également le gouvernement, à revoir les crédits bancaires et à débloquer les fonds nécessaires pour que les entreprises ne soient pas à perte, en finançant surtout leurs nouveaux projets. Le patronat estime, que ces mesures pourront atténuer, un tant soit peu, le goulot d'étranglement et de permettre au moins un maintien d'activité hors risque pour les mois à venir.


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