Algérie

Les enseignants durcissent le ton


La réunion, qui a eu lieu entre le représentant du ministère de l'Education, Abdelkader Belhoud, et les enseignants de l'enseignement primaire, s'est soldée par un échec.La réunion, qui a eu lieu entre le représentant du ministère de l'Education, Abdelkader Belhoud, et les enseignants de l'enseignement primaire, s'est soldée par un échec.
Et ce, en raison du retrait des enseignants de l'enseignement primaire de la réunion, une demi-heure après son début. En effet, trente minutes après l'ouverture de la réunion, qui réunissait l'inspecteur général du ministère et les représentants des enseignants du primaire au siège du ministère, les deux parties ont eu d'intenses discussions, en raison de désaccords sur l'ordre du jour et la gestion du dossier qui comportait 13 préoccupations. Au final, les représentants des enseignants ont préféré quitter la table. Selon les sources bien informées, le ministère s'est porté garant à assurer les conditions professionnelles des enseignants du primaire en s'efforçant de les améliorer, en organisant des ateliers les réunissant, afin de recenser les problèmes professionnels dans lesquels les enseignants du cycle primaire s'effondraient, en raison de la nature des préoccupations qui varient, d'une wilaya à une autre. Une fois les rapports des situations détaillés et préparés, ils seront envoyés au ministère pour leur résolution.
Quant au deuxième volet qui concerne la modification du décret exécutif n° 12/240, le ministère a refusé d'ouvrir ce dossier, tout en que celui-ci n'avait ni l'autorité, ni le pouvoir d'ouvrir des discussions. De son coté, les syndicats du secteur déplorent l'absence d'engagements concrets de la part de la tutelle. Ils a annoncé que cette démarche d'entêtement de la tutelle à régler les doléances posées sur la table, serait de ce fait très dangereuse. Ladite démarche, qui constituerait une mesure d'escalade à l'encontre de la partie syndicale. Ils ont également annoncé le mot d'ordre d'une grève illimitée ou d'un mouvement de protestation hebdomadaire renouvelé pendant trois jours. Les syndicats ont également menacé de boycotter les examens du premier trimestre. Au sein des familles, tout le monde s'accorde à dire que cette situation n'arrangerait pas leurs enfants et que, par conséquent, ils souhaitent une sortie rapide de la crise qui secoue le secteur de l'éducation, et ce à tous les niveaux.
Et ce, en raison du retrait des enseignants de l'enseignement primaire de la réunion, une demi-heure après son début. En effet, trente minutes après l'ouverture de la réunion, qui réunissait l'inspecteur général du ministère et les représentants des enseignants du primaire au siège du ministère, les deux parties ont eu d'intenses discussions, en raison de désaccords sur l'ordre du jour et la gestion du dossier qui comportait 13 préoccupations. Au final, les représentants des enseignants ont préféré quitter la table. Selon les sources bien informées, le ministère s'est porté garant à assurer les conditions professionnelles des enseignants du primaire en s'efforçant de les améliorer, en organisant des ateliers les réunissant, afin de recenser les problèmes professionnels dans lesquels les enseignants du cycle primaire s'effondraient, en raison de la nature des préoccupations qui varient, d'une wilaya à une autre. Une fois les rapports des situations détaillés et préparés, ils seront envoyés au ministère pour leur résolution.
Quant au deuxième volet qui concerne la modification du décret exécutif n° 12/240, le ministère a refusé d'ouvrir ce dossier, tout en que celui-ci n'avait ni l'autorité, ni le pouvoir d'ouvrir des discussions. De son coté, les syndicats du secteur déplorent l'absence d'engagements concrets de la part de la tutelle. Ils a annoncé que cette démarche d'entêtement de la tutelle à régler les doléances posées sur la table, serait de ce fait très dangereuse. Ladite démarche, qui constituerait une mesure d'escalade à l'encontre de la partie syndicale. Ils ont également annoncé le mot d'ordre d'une grève illimitée ou d'un mouvement de protestation hebdomadaire renouvelé pendant trois jours. Les syndicats ont également menacé de boycotter les examens du premier trimestre. Au sein des familles, tout le monde s'accorde à dire que cette situation n'arrangerait pas leurs enfants et que, par conséquent, ils souhaitent une sortie rapide de la crise qui secoue le secteur de l'éducation, et ce à tous les niveaux.
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