Les engagements du gouvernement malien...

Le chef de la diplomatie malienne a affirmé l'engagement du gouvernement de son pays à chercher le cadre constitutionnel adéquat à même de réunir tous les Maliens et de prendre en charge leurs préoccupations.Le chef de la diplomatie malienne a affirmé l'engagement du gouvernement de son pays à chercher le cadre constitutionnel adéquat à même de réunir tous les Maliens et de prendre en charge leurs préoccupations.Le ministre malien des Affaires étrangères, de l'Intégration et de la Coopérationinternationale, Abdoulaye Diop, a affirmé lundi à Alger l'engagement du gouvernement malien à "participer sérieusement" aux négociations de paix et à "mettre en oeuvre" tout accord devant être conclu dans le cadre du processus parrainé par l'Algérie en faveur d'une solution durable à la crise du nord du Mali. Intervenant à l'ouverture de la seconde phase du dialogue intermalien, M. Diop a souligné que le gouvernement malien "affirme son engagement ferme à participer sérieusement à la seconde phase de ce dialogue et à mettre en oeuvre tout accord devant être conclu pour une sortie de crise".Le chef de la diplomatie malienne a également affirmé l'engagement du gouvernement de son pays à "chercher le cadre constitutionnel adéquat à même de réunir tous les Maliens et de prendre en charge leurs préoccupations" soulignant l'importance "d'engager une réflexion pour une gouvernance participative, le rétablissement de la paix et de la sécurité à travers tout le territoire malien et la mise en place de cadres a même de garantir un développement homogène à toutes les régions du pays"."Nous ne ménagerons aucun effort pour réunir les meilleures conditions de vie à nos enfants dans tout le territoire malien", a-t-il soutenu appelant toutes les parties maliennes à saisir cette opportunité de dialogue pour parachever le processus d'édification nationale. M. Diop a souhaité que "la page des souffrances vécues par le peuple malien pendant une longue période de son histoire soit tournée".Le chef de la diplomatie malienne a tenu à affirmer l'engagement personnel des présidents algérien, Abdelaziz Bouteflika et malien, Ibrahim Boubakar Keita, d'oeuvrer à trouver une issue à la crise du nord du Mali et à préserver la stabilité dans la région saluant les efforts "internationaux accompagnant ce processus parrainé par l'Algérie pour rétablir la stabilité non seulement au Mali mais aussi dans la région sahélo-saharienne et le continent en général". M. Diop a réitéré sa gratitude au gouvernement algérien ainsi qu'au président Bouteflika en "personne" pour les efforts consentis pour préserver la stabilité dans la région.L'Algérie a organisé depuis janvier dernier une série de rencontres visant à réunir les conditions nécessaires au lancement d'un dialogue intermalien et qui ont été couronnées par la signature en juillet dernier de la "Déclaration d'Alger" et d'une feuille de route par six mouvements politico-militaires activant au nord du Mali et concernés actuellement par le dialogue direct avec le gouvernement central de Bamako.Il s'agit de Mouvement arabe de l'Azawad (MAA), la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA), la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR), le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l'Azawad (dissident).Une minute de silence a été observée, lors de la cérémonie d'ouverture de la seconde phase des du dialogue intermalien, à la mémoire des deux diplomates algériens décédés, le consul Boualem Saies et Tahar Touati, considérés comme "artisans de la paix parmi les enfants de l'Algérie".Le ministre malien des Affaires étrangères, qui s'est félicité de la libération des deux diplomates algériens enlevés à Gao (Nord- Mali) a rendu hommage aux diplomates algériens décédés ajoutant que de tels "incidents nous rappellent le lourd tribut que le terrorisme veut nous faire payer". Les deux derniers otages algériens parmi les sept diplomates enlevés en avril 2012 à Gao (nord du Mali), ont été libérés la veille du lancement de la seconde phase du dialogue intermalien.Le ministre malien des Affaires étrangères, de l'Intégration et de la Coopérationinternationale, Abdoulaye Diop, a affirmé lundi à Alger l'engagement du gouvernement malien à "participer sérieusement" aux négociations de paix et à "mettre en oeuvre" tout accord devant être conclu dans le cadre du processus parrainé par l'Algérie en faveur d'une solution durable à la crise du nord du Mali. Intervenant à l'ouverture de la seconde phase du dialogue intermalien, M. Diop a souligné que le gouvernement malien "affirme son engagement ferme à participer sérieusement à la seconde phase de ce dialogue et à mettre en oeuvre tout accord devant être conclu pour une sortie de crise".Le chef de la diplomatie malienne a également affirmé l'engagement du gouvernement de son pays à "chercher le cadre constitutionnel adéquat à même de réunir tous les Maliens et de prendre en charge leurs préoccupations" soulignant l'importance "d'engager une réflexion pour une gouvernance participative, le rétablissement de la paix et de la sécurité à travers tout le territoire malien et la mise en place de cadres a même de garantir un développement homogène à toutes les régions du pays"."Nous ne ménagerons aucun effort pour réunir les meilleures conditions de vie à nos enfants dans tout le territoire malien", a-t-il soutenu appelant toutes les parties maliennes à saisir cette opportunité de dialogue pour parachever le processus d'édification nationale. M. Diop a souhaité que "la page des souffrances vécues par le peuple malien pendant une longue période de son histoire soit tournée".Le chef de la diplomatie malienne a tenu à affirmer l'engagement personnel des présidents algérien, Abdelaziz Bouteflika et malien, Ibrahim Boubakar Keita, d'oeuvrer à trouver une issue à la crise du nord du Mali et à préserver la stabilité dans la région saluant les efforts "internationaux accompagnant ce processus parrainé par l'Algérie pour rétablir la stabilité non seulement au Mali mais aussi dans la région sahélo-saharienne et le continent en général". M. Diop a réitéré sa gratitude au gouvernement algérien ainsi qu'au président Bouteflika en "personne" pour les efforts consentis pour préserver la stabilité dans la région.L'Algérie a organisé depuis janvier dernier une série de rencontres visant à réunir les conditions nécessaires au lancement d'un dialogue intermalien et qui ont été couronnées par la signature en juillet dernier de la "Déclaration d'Alger" et d'une feuille de route par six mouvements politico-militaires activant au nord du Mali et concernés actuellement par le dialogue direct avec le gouvernement central de Bamako.Il s'agit de Mouvement arabe de l'Azawad (MAA), la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA), la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR), le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l'Azawad (dissident).Une minute de silence a été observée, lors de la cérémonie d'ouverture de la seconde phase des du dialogue intermalien, à la mémoire des deux diplomates algériens décédés, le consul Boualem Saies et Tahar Touati, considérés comme "artisans de la paix parmi les enfants de l'Algérie".Le ministre malien des Affaires étrangères, qui s'est félicité de la libération des deux diplomates algériens enlevés à Gao (Nord- Mali) a rendu hommage aux diplomates algériens décédés ajoutant que de tels "incidents nous rappellent le lourd tribut que le terrorisme veut nous faire payer". Les deux derniers otages algériens parmi les sept diplomates enlevés en avril 2012 à Gao (nord du Mali), ont été libérés la veille du lancement de la seconde phase du dialogue intermalien.