Algérie

Les Egyptiens mauvais perdants



Les Egyptiens mauvais perdants
«Révolution» ou pas, un Egyptien reste un Egyptien. Aujourd'hui, le clan Moubarek n'existe plus. Ni Jamel ou Aâla n'ont donné ordre à leurs sbires de lâcher leur venin sur les Algériens en cette belle soirée de finale du Mondial militaire de football.
Triste image que nous ont offert ces Pharaons dans un pays étranger. Les Brésiliens ont découvert avec stupeur la méchanceté des Egyptiens qui, une fois de plus, se sont illustrés d'une bien mauvaise manière. Le pire pour un sportif dont le fair-play est son credo. Au moment où le président de la République Abdelaziz Bouteflika présentait ses félicitations au maréchal Tantaoui à l'occasion du 59e anniversaire de la révolution de juillet dans un message dont lequel, il relevait le souci de raffermir les liens de fraternité et de solidarité et de développer les relations entre les deux pays, les membres de la sélection algérienne se faisaient lâchement agressés par les joueurs égyptiens, ne supportant pas d'être battus sportivement sur le terrain. Triste image que celle de l'entraîneur des gardiens Izri qui en voulant aller saluer ses joueurs, se faisaient descendre par surprise par un des «Baltaguia» égyptiens qui n'a pas hésité à taper des deux pieds, dans le dos de l'Algérien. Même militaire, ce lâche égyptien n'a même pas eu le courage de l'affronter en face. S'en suivit, bien évidement des images désolantes. Une véritable bataille a éclaté sur le terrain. On redécouvre ces Egyptiens haineux. Ceux d'un certain 12 novembre 2009 qui avaient caillaissé le bus de la sélection algérienne qui devait disputer, deux jours plus tard, le match décisif de la qualification au Mondial-2010. Beaucoup avait été dit par les Egyptiens qui avaient alors tout mis sur le dos des Algériens, faisant croire à un coup monté, avant de se raviser plusieurs mois plus tard et reconnaître cette lâche agression. On se souvient aussi que durant la Coupe d'Afrique des nations de handball tenue en Egypte, les Algériens avaient étaient pris à partie au moment de quitter le terrain, sur ordre de l'ancien président égyptien, Jamel Moubarek. Depuis, on pensait que cette triste page des relations algéro-égyptiennes était tournée, mais on ne savait pas qu'elle n'avait pas été déchirée' par les Egyptiens. Si révolution, il doit y avoir, c'est celle qui doit remettre les Egyptiens sur le droit chemin. Ils doivent, une fois pour toute, se mettre à l'évidence que le pays des Pharaons n'est pas le nombril du monde. «Oum Edounia» n'est qu'un mot, la réalité est tout autre. Elle nous l'a encore été démontrée samedi au Brésil'


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