Cet article aborde la problématique liée à l’intervention des
laboratoires étrangers dans le secteur pharmaceutique algérien.
L’actualité plutôt que la nouveauté de ce débat témoigne de la dimension
stratégique accordée par les pouvoirs publics à cette intervention dans le
cadre d’une politique de l’Etat algérien orientée vers l’édification d’une
industrie pharmaceutique locale. Mais, la présence des laboratoires,
annoncée comme une opportunité de développement des capacités
nationales, aboutit à des résultats mitigés. En nous basant sur un
corpus théorique relatif aux modalités d’internationalisation et des
accords interentreprises, nous avons tenté d’identifier les modes
d’intervention de ces laboratoires (investis-sement direct ou mode
hybride) et leurs effets sur le secteur de l’industrie pharmaceutique
algérien et sur le groupe industriel Saidal.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 20/05/2021
Posté par : einstein
Ecrit par : - Bellahcene Ouerdia - Ferfera Mohamed Yassine
Source : Les cahiers du CREAD Volume 30, Numéro 108, Pages 51-73