Les dons de bienfaisance ont enregistré cette année une régression très importante, mettant les associations caritatives dans une situation de «détresse», pour distribuer les couffins de Ramadhan aux familles nécessiteuses.Les âmes charitables se font rares, cependant le nombre de familles dans la précarité a considérablement augmenté à cause de la pandémie de la Covid-19 qui a paralysé l'économie du pays et, en conséquence, douloureusement impacté les ménages à faible revenu.
Si dans les années passées, l'abondance se faisait ressentir auprès des associations caritatives avec la remise de chèques importants et d'espèces, cette année, c'est presque un appel de «détresse» que lancent les associations qui se retrouvent submergées avec des demandes difficiles à satisfaire, même si elles tentent de garnir chichement les couffins.
D'après les appels répétitifs à travers les réseaux sociaux, l'on s'achemine cette année vers le couffin vide pour beaucoup de familles, faute de moyens financiers pour les remplir.
L'on est encore au début du mois sacré de Ramadhan, et des efforts peuvent encore être consentis par les bienfaiteurs pour contribuer à cette «assistance» et mettre un peu de baume au c?ur des démunis dans le désarroi.
A. M.
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Posté Le : 20/04/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : LSA
Source : www.lesoirdalgerie.com