Les dirigeants n'ont pas appris la leçon

Gaouaoui, Dagoulou et Kouami, trois joueurs qui ont signé à l'entente et n'ont pas été qualifiés ayant encaissé au minimum trois mois de salaires sans porter le maillot des noir et blanc.Pour ne citer que l'exemple du Burkinabè Kouami qui évoluait au MC Saïda, il a touché trois mois de salaire et 100 millions pour sa lettre de libération en 2011 mais ne fut qualifié qu'en 2012, et son contrat fut résilié avec une autre prime pour service rendu ! Mais la leçon ne semble pas apprise par les responsables du club, voilà que le même scénario se répète. En premier lieu, l'africain Madou qui a endossé le maillot de l'entente pour une ou deux rencontres n'a plus donné signe de vie depuis deux mois, selon nos informations il semblerait qu'il se trouve en France avec bien sûr un beau pactole en poche (avance sur sa prime de signature), le cas aussi de Ze Ondo qui est ententiste seulement sur papier car sa qualification tarde à se clarifier en attendant le mercato avec l'espoir qu'il pourra endosser le maillot pour au moins justifier cette période de vacances acquise dans la ville d'Aïn el fouara. On citera également, le cas de Bouaza à qui on a fait signer un contrat dans l'espoir d'une qualification particulière (joueur international chômeur) sans aucune assurance écrite de la part de l'instance footballistique algérienne. Toute cette cacophonie administrative sera clôturée par la dernière affaire concernant le joueur Toumi à qui le club doit trouver une solution d'urgence pour la résiliation de son contrat, le joueur en question réclame son dû. Des situations qui ont mis le club dans l'embarras financièrement avec le temps, les mêmes erreurs sont malheureusement relevées chaque année.