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G20 : on ne badine pas avec la sécuriré La présidente de la Réserve fédérale américaine est sans doute l'une des femmes les plus puissantes du monde. Mais les services de sécurité du G20 à Sydney n'en ont pas moins demandé à Janet Yellen sa carte d'identité, ce samedi matin, selon un témoin de la scène. Alors qu'elle s'apprêtait à rentrer dans le restaurant de l'Intercontinental, l'hôtel où se déroulent les réunions du G20, la nouvelle présidente de la Fed a dû fouiller dans son sac pour en extirper son identification. «Sans doute la femme la plus puissante du monde, mais Yellen de la Fed n'est pas encore tout à fait une célébrité», a tweeté le journaliste. «Le personnel du G20 vient de lui demander sa carte d'identité pour qu'elle puisse entrer prendre son petit-déjeuner».Zimbabwe : la justice ordonne l'expulsion d'un ex-député américain Un tribunal zimbabwéen a ordonné, hier vendredi, l'expulsion d'un ex-membre du Congrès américain, Melvin Reynolds, contre qui des accusations de détention de matériel pornographique ont été abandonnées. Le tribunal d'Harare a ordonné l'expulsion immédiate de Reynolds, 62 ans, ex-membre du Congrès représentant l'Etat de l'Illinois, une fois qu'il aura payé une amende de 75 euros ou purgé une peine de cinq jours de prison. Il a plaidé coupable, reconnaissant être resté illégalement au Zimbabwe après expiration de son visa.New York : Le maire épinglé pour une conduite dangereuse Le maire de New York, Bill de Blasio, a fait le dos rond, hier vendredi, ignorant la polémique après que sa voiture eut été filmée grillant deux stops et roulant trop vite, alors qu'il avait annoncé, mardi dernier des mesures contre les chauffards. La chaîne locale de CBS à New York avait suivi deux 4X4 officiels qui le conduisaient d'un rendez-vous à l'autre. Les voitures ont été filmées brûlant deux stops, changeant de voie de manière brutale, et dépassant les limites de vitesse. Interrogé par des journalistes, le maire leur a conseillé de parler à la police, chargée de sa sécurité lorsqu'il se déplace.Guantanamo?: Des ex-détenus réclament réparation pour des abus en prison Cinq anciens prisonniers de Guantanamo, de nationalités turque, ouzbèke et algérienne, ont réclamé réparation, hier vendredi, devant une cour d'appel américaine pour les abus qu'ils disent avoir subis pendant leurs années de détention sans inculpation ni procès. Les cinq hommes, incarcérés pendant deux à quatre ans à Kandahar, à Bagram puis à Guantanamo, avant d'être libérés en Turquie et Albanie, entre 2003 et 2006, n'ont jamais été qualifiés d'«ennemis combattants» et ont été entièrement blanchis de cette assertion par un tribunal de révision de leur statut à Guantanamo.