Voyant que leur chef ne se présentera pas à l'élection présidentielle de 2014, les cadres du parti El Adala, dirigé par Abdallah Djaballah, ont accusé les candidats qui ont annoncé leur volonté de participer au scrutin de lièvres et... souris de laboratoire. Un dérapage verbal politique qui n'a pas lieu d'être, venant d'un député pourtant très diplomatique, Lakhdar Benkhalaf.
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Posté Le : 15/01/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L'Expression
Source : www.lexpressiondz.com