Près d'une décennie après son retour en Algérie, où il est né le 2 mai 1947, l'écrivain-photographe français Armand Vial n'en finit toujours pas avec ses déboires administratifs pour obtenir une carte de résidence.Après avoir vécu sept ans à Constantine, sa ville natale, avec un titre de séjour provisoire, renouvelable chaque trimestre, ce retraité de la fonction publique française décide, en avril 2019, de s'installer dans la ville de Béjaïa.
Depuis, il découvre à ses dépens un nouvel épisode de ses déboires administratifs. Ballotté entre les services de police de Béjaïa et ceux de Constantine, Armand Vial frappera à toutes les portes, y compris à celle des services consulaires de son pays, en vue de régulariser sa situation, étant donné que son dernier titre de séjour a expiré en août 2019. "Je suis en situation irrégulière depuis plus d'une année.
Je n'ai donc plus de papiers et suis de fait dans l'impossibilité de me déplacer pour aller en France, rendre visite à mes enfants et poursuivre mes examens médicaux. J'ai appris par différents canaux que plusieurs enquêtes ont été faites à mon sujet. Mais rien ne peut m'être reproché et rien ne m'a été reproché officiellement.
Je ne suis pas journaliste, ni un agent des services secrets français, ni du Mossad. De plus, je n'ai participé à aucune manifestation, ni à Constantine ni à Béjaïa. Alors '" nous dira M. Vial, lors de sa visite à notre bureau régional de Béjaïa.
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Posté Le : 21/09/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Farid BELGACEM
Source : www.liberte-algerie.com