Les déblais et déversements d'ordures ont repris sur la RN Issers - Bordj Ménaïel

Le phénoméne des déversements sauvages débridés, le long de l'autoroute et du chemin communal reliant Issers à Bordj-Ménaïel via la ferme la Gironde, la ferme Germain, a repris de plus belle depuis quelques temps .A l' heure actuelle, la route nationale reliant Naciria, Bordj-Ménaïel, Issers est devenu un lieu très puant pour les automobilistes qui empruntent le chemin car en plus d'obstruer une partie de la chaussée , ces répugnants monticules discontinus de déblais, débris de matériaux de construction et d'ordures ménagéres, polluent cet important espace et massacrent des cultures d'arbres fruitiers composées de plusieurs centaines d'oliviers, de pommeraies, d'arbres fruitiers. Un incivisme qui nargue les pouvoirs publics et dont le phénoméne est apparu il y a plusieurs années et qui prend une effarante ampleur au su et au vu de toutes les autorités locales qui ferment les yeux sur cette pollution à grande echelle, en plus de constituer un décor peu honorable aux milliers d'usagers de la route nationale. Que peut faire l'APC avec son opération de nettoyage qui malheureusement n'est d'aucune utilité, sachant qu'à la fin de chaque opération, les déversements reprennet de plus belle et redonnent à cet endroit son aspect d'horrible foyer de toutes sortes d'épidémies, dont les persécussions négatives vont tripler à l'approche de la saison chaude. Un état de fait répressible aux incalculables retombées sur la santé publique et l'environnement qu'on aurait pu éviter rien que par la pose d'une cloture bétonnée pour empêcher ces énerguménes sans foi, ni loi d'accéder aux accotements de cette importante route nationale reliant Alger à Tizi-Ouzou. Les services de l'agriculture, eux aussi, restent indifferents à cet état de fait sachant que ces terrains massacrés, bien qu'ils soient exploités en coopération par des anciens ouvriers relevant du secteur, ont leur part de responsabilités qui utilisent ces terrains domaniaux. Il se trouve que l'on trouve des tonnes de canettes de bières qui jonchent le dessous des fossés en bordures de la route et même des animaux puants jetés çà et là, même les buveurs s'arretent avec leurs véhicules pour s'adonner à la boisson à ciel ouvert et personne ne semble déranger. Bordj-Ménaïel n'est plus cette localité oh ! tellement charmante et coquette qui respirait la joie de vivre, elle a beaucoup changé, les natifs de cette historique ville ne se reconnaissent plus et sentent qu'ils sont noyés par cette situation d'abandon par les autorités locales , wilayales et gouvernementales, les gens vivent avec leurs passés et ont peur d'évoquer le futur car rien n'a changé depuis de nombreuses années. La premiere responsable de la trente cinquième wilaya d'Algérie de Boumerdès en l'occurrence Madame Yamina Nouria Zerhouni, wali du Rocher noir compte intervenir très ^prochainement et rendre l'espoir de vivre pour cette population tellement accueillante.