Algérie

Les critiques du MSP



Les critiques du MSP
Pour le président d MSP, Abdelmadjid Menasra, "Les élections se suivent, mais la pratique politique n'a pas changé. Les élections se déroulent toujours dans des limites étroites qui les vident de leur contenu et de leur sens alternatif", déplore-t-il en référence à ce qu'il qualifie de "contraintes" imposées par la loi en vigueur.Pour le président d MSP, Abdelmadjid Menasra, "Les élections se suivent, mais la pratique politique n'a pas changé. Les élections se déroulent toujours dans des limites étroites qui les vident de leur contenu et de leur sens alternatif", déplore-t-il en référence à ce qu'il qualifie de "contraintes" imposées par la loi en vigueur.
Menasra, qui s'exprimait hier lors d'un forum organisé par son parti, "les élections ne sont pas une fin en soi, mais unmoyen pour construire une démocratie,en permettant au citoyen d'être l'acteurdu changement politique et de réaliser un développement économique". Le chef du MSP redoute une faible participation, considérant que les conditionsde régularité et de transparence ne sont pas encore réunies, à l'occasion des élections du 23 novembre.
Une raison pour laquelle il appelle à la poursuite du combat contre la fraudeinsistant, à ce propos sur une nécessaire "coordination" avec les partis politiques,engagés dans la course.
Sur le même registre de la transparence, Abdelmadjid Menasra revendiqueaussi "la révision du système électoral pour l'adapter aux standards universels" ; tout comme il réclame la suppression pure et simple de la fameuse disposition sur les 4 % imposée aux partis politiques. Tout en dénonçantl'élimination de certaines candidatures,probablement fait-il allusion aux anciens du FIS, le chef du MSP réclame enfin "une instance de suveillance réellementindépendante".
Menasra, qui s'exprimait hier lors d'un forum organisé par son parti, "les élections ne sont pas une fin en soi, mais unmoyen pour construire une démocratie,en permettant au citoyen d'être l'acteurdu changement politique et de réaliser un développement économique". Le chef du MSP redoute une faible participation, considérant que les conditionsde régularité et de transparence ne sont pas encore réunies, à l'occasion des élections du 23 novembre.
Une raison pour laquelle il appelle à la poursuite du combat contre la fraudeinsistant, à ce propos sur une nécessaire "coordination" avec les partis politiques,engagés dans la course.
Sur le même registre de la transparence, Abdelmadjid Menasra revendiqueaussi "la révision du système électoral pour l'adapter aux standards universels" ; tout comme il réclame la suppression pure et simple de la fameuse disposition sur les 4 % imposée aux partis politiques. Tout en dénonçantl'élimination de certaines candidatures,probablement fait-il allusion aux anciens du FIS, le chef du MSP réclame enfin "une instance de suveillance réellementindépendante".


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