Les cours privés ont le vent en poupe

Le phénomène des cours privés est devenu monnaie courante. Avec l'arrivéeimminente des examens du BEM et du Bac, les élèves ont de plus en plus recours aux cours particuliers.Le phénomène des cours privés est devenu monnaie courante. Avec l'arrivéeimminente des examens du BEM et du Bac, les élèves ont de plus en plus recours aux cours particuliers.
Les cours privés prennent de plus en plus d'ampleur. Les offres affichées sur les murs d'immeubles, des magasins et sur les places publiques sont là pour attirer les nombreux élèves des 3 cycles. Les tarifs varient selon la matière et le nombre d'élèves, ils se situent généralement entre 500 et 1.000 DA l'heure. Le rythme scolaire de cette année marquée par une réduction des volumes horaires a obligé les parents d'élèves à recourir aux cours privés, certains enseignants en ont profité de l'opportunité pour arrondir leur fin de mois. A Alger, on parle de quelque 200 établissements privés agréés pour les cours de soutien scolaire. Mais avec les restrictions de la pandémie virale, de plus en plus l'idée de cours sur Internet et les réseaux sociaux se généralise. Cependant, certains lieux aménagés en espaces de cours de soutien laissent à désirer tant sur le plan de respect de la distanciation que de la recommandations d'hygiène sanitaire contre le Covid-19.
"Cette année, la persistance des foyers de contagion a causé une certaine anarchie qui a profité aux cours de soutien sans encadrement" a laissé entendre l'Association nationale des parents d'élève qui a interpellé, via son compte Facebook, les autorités sur ce phénomène. "Nous appelons les autorités de l'Education nationale à mettre de l'ordre dans les cours de soutien scolaire en mettant l'accent sur le contrôle des dispositifs sanitaires et une loi qui régule l'encadrement des cours de soutien privé". Jusque-là, il n'y a aucune mesure coercitive en la matière et bien que le ministère de l'Education a promis de sévir contre cette pratique, il n'y aucun empêchement légal. Pour autant, les parents d'élève ne sont pas foncièrement contre ces cours. Chacun les justifie pour plusieurs raisons. Mais la plus importante s'explique par la forte demande à l'approche de chaque examen qui met l'élève face au stress et à la peur d'échouer ou de rater son année scolaire.
Les cours privés prennent de plus en plus d'ampleur. Les offres affichées sur les murs d'immeubles, des magasins et sur les places publiques sont là pour attirer les nombreux élèves des 3 cycles. Les tarifs varient selon la matière et le nombre d'élèves, ils se situent généralement entre 500 et 1.000 DA l'heure. Le rythme scolaire de cette année marquée par une réduction des volumes horaires a obligé les parents d'élèves à recourir aux cours privés, certains enseignants en ont profité de l'opportunité pour arrondir leur fin de mois. A Alger, on parle de quelque 200 établissements privés agréés pour les cours de soutien scolaire. Mais avec les restrictions de la pandémie virale, de plus en plus l'idée de cours sur Internet et les réseaux sociaux se généralise. Cependant, certains lieux aménagés en espaces de cours de soutien laissent à désirer tant sur le plan de respect de la distanciation que de la recommandations d'hygiène sanitaire contre le Covid-19.
"Cette année, la persistance des foyers de contagion a causé une certaine anarchie qui a profité aux cours de soutien sans encadrement" a laissé entendre l'Association nationale des parents d'élève qui a interpellé, via son compte Facebook, les autorités sur ce phénomène. "Nous appelons les autorités de l'Education nationale à mettre de l'ordre dans les cours de soutien scolaire en mettant l'accent sur le contrôle des dispositifs sanitaires et une loi qui régule l'encadrement des cours de soutien privé". Jusque-là, il n'y a aucune mesure coercitive en la matière et bien que le ministère de l'Education a promis de sévir contre cette pratique, il n'y aucun empêchement légal. Pour autant, les parents d'élève ne sont pas foncièrement contre ces cours. Chacun les justifie pour plusieurs raisons. Mais la plus importante s'explique par la forte demande à l'approche de chaque examen qui met l'élève face au stress et à la peur d'échouer ou de rater son année scolaire.