Algérie

Les commentaires de la honte



Des médias étrangers et des personnalités connues ont versé encore une fois dans des commentaires tendancieux. Le décès de Ahmed Gaid Salah, viceministre nde la Défense et exchef d'Etat-major de l'ANP, a suscité un emballement non contrôlé et des réactions qui ntraduisent un parti pris flagrant, contre l'Algérie.Des médias étrangers et des personnalités connues ont versé encore une fois dans des commentaires tendancieux. Le décès de Ahmed Gaid Salah, viceministre nde la Défense et exchef d'Etat-major de l'ANP, a suscité un emballement non contrôlé et des réactions qui ntraduisent un parti pris flagrant, contre l'Algérie.
Dans les plateaux de TV étrangères, ce sont les commentaires non effrénéssur la situation politique, quisont devenus redondants. Ainsi, la chaineTV France 24 a voulu se mettre au diapason,en se collant de plus près à l'actualité. Ses hôtes préférés sont ceux qui estimentque "l'Algérie est dans une situationexplosive" et que "l'avenir est incertainaprès la mort de l'homme fort du régime"Si les correspondants de cette chaine tententde décrypter la situation algérienne en se focalisant sur la cérémonie mortuairede feu Gaid Salah, d'autres réactivent lescommentaires les plus "tendancieux"qu'ils soient. C'est le cas des journaux del'Hexagone qui ont eu pour titre "la mortde Gaid Salah, que va-t-il se passer après '".
Ou ce commentaire de la chaine Direct8n qui avait hier mis en doute "la capacité de l'Algérie à résister au choc de 2020, avec une crise qui ne sera pas réglée". Une profusion d'invités, à l'instar d'historiens, journalistes spécialisés de la question algérienne et des hommes politiques radicaux, tout peut être dit. On retient ndans ce registre l'avis de Dominique Ghilès, qui est président d'un institut de recherche en sciences politiques à Barcelone, qui, dans un direct à TV5 Monde, a préféré évoquer "la distribution des rôles après la mort de l'ex-chef d'Etat major" dans une "Algérie où le peuple résiste encore à la tentation de la reconduction du système". Selon cet analyste "l'Algérie reste un pas déterminé à la rupture avec les anciens apparatchiks, grâce au mouvement du Hirak depuis 9 mois". Plus attentif, cet analyste tente de décrypter les enjeux politiques, après l'élection qui a consacré le nouveau présidentTebboune qui, selon lui, "reste l'homme qui promet le changement".
Les nostalgiques reviennent à la charge
Il en est autrement de ceux qui, en France, ne digèrent pas la souveraineté algérienne et son indépendance. Marine le Pen, présidente ndu Rassemblement national d'extrême droite, n'a pas trouvé mieux que d'envenimer comme à l'accoutumée, ces propos sur l'Algérie. Dans son tweet, elle met sur scène "la mort du chef d'Etatmajor de l'armée, Gaid Salah, laisse craindre des troubles politiques et sociaux nen Algérie". Elle y ajoute "qu'il faut suspendre tous les accords facilitant l'immigration en provenance de l'Algérie".
Cette femme politique, connue pour ses positions détestables sur l'Algérie, n'en est pas à sa dernière démesure, puisqu'elle exprime des avis et opinions qui, dans son bloc idéologique, sont réfractaires à tout ce qui est Maghrébin et, particulièrement, Algérien. La deuxième figure qui a lâché son "fiel", est Eric Zemmour, qui ne cesse de multiplier ces attaques contre l'Algérie. Dans une déclaration laconique sur le plateau d'une chaine privée, il considère que "le FLN est responsable de tous les maux en Algérie, qui reste un pays mal géré". Ce dernier, aidé par un autre journaliste Marc Revel, pense que "l'équation dus système algérien est compliquée, et que les prémices d'une guerre civile ne sont pas à écarter".
Ces derniers savent pertinemment, que le mouvement populaire algérien réclamant le changement, reste pacifique et civique, loin des affrontements armés que certains cercles prévoyaient durant le sursaut du 22 février. Un autre fait est celui de l'intervention d'Edwy plenel en face à un autre nostalgique de " l'Algérie française", qui pour le premier, considère que "les Algériens sont capables de résoudre leurs problèmes, sans l'intervention d'aucun pays tiers et il appartient de respecter ce nchoix".
Dans les plateaux de TV étrangères, ce sont les commentaires non effrénéssur la situation politique, quisont devenus redondants. Ainsi, la chaineTV France 24 a voulu se mettre au diapason,en se collant de plus près à l'actualité. Ses hôtes préférés sont ceux qui estimentque "l'Algérie est dans une situationexplosive" et que "l'avenir est incertainaprès la mort de l'homme fort du régime"Si les correspondants de cette chaine tententde décrypter la situation algérienne en se focalisant sur la cérémonie mortuairede feu Gaid Salah, d'autres réactivent lescommentaires les plus "tendancieux"qu'ils soient. C'est le cas des journaux del'Hexagone qui ont eu pour titre "la mortde Gaid Salah, que va-t-il se passer après '".
Ou ce commentaire de la chaine Direct8n qui avait hier mis en doute "la capacité de l'Algérie à résister au choc de 2020, avec une crise qui ne sera pas réglée". Une profusion d'invités, à l'instar d'historiens, journalistes spécialisés de la question algérienne et des hommes politiques radicaux, tout peut être dit. On retient ndans ce registre l'avis de Dominique Ghilès, qui est président d'un institut de recherche en sciences politiques à Barcelone, qui, dans un direct à TV5 Monde, a préféré évoquer "la distribution des rôles après la mort de l'ex-chef d'Etat major" dans une "Algérie où le peuple résiste encore à la tentation de la reconduction du système". Selon cet analyste "l'Algérie reste un pas déterminé à la rupture avec les anciens apparatchiks, grâce au mouvement du Hirak depuis 9 mois". Plus attentif, cet analyste tente de décrypter les enjeux politiques, après l'élection qui a consacré le nouveau présidentTebboune qui, selon lui, "reste l'homme qui promet le changement".
Les nostalgiques reviennent à la charge
Il en est autrement de ceux qui, en France, ne digèrent pas la souveraineté algérienne et son indépendance. Marine le Pen, présidente ndu Rassemblement national d'extrême droite, n'a pas trouvé mieux que d'envenimer comme à l'accoutumée, ces propos sur l'Algérie. Dans son tweet, elle met sur scène "la mort du chef d'Etatmajor de l'armée, Gaid Salah, laisse craindre des troubles politiques et sociaux nen Algérie". Elle y ajoute "qu'il faut suspendre tous les accords facilitant l'immigration en provenance de l'Algérie".
Cette femme politique, connue pour ses positions détestables sur l'Algérie, n'en est pas à sa dernière démesure, puisqu'elle exprime des avis et opinions qui, dans son bloc idéologique, sont réfractaires à tout ce qui est Maghrébin et, particulièrement, Algérien. La deuxième figure qui a lâché son "fiel", est Eric Zemmour, qui ne cesse de multiplier ces attaques contre l'Algérie. Dans une déclaration laconique sur le plateau d'une chaine privée, il considère que "le FLN est responsable de tous les maux en Algérie, qui reste un pays mal géré". Ce dernier, aidé par un autre journaliste Marc Revel, pense que "l'équation dus système algérien est compliquée, et que les prémices d'une guerre civile ne sont pas à écarter".
Ces derniers savent pertinemment, que le mouvement populaire algérien réclamant le changement, reste pacifique et civique, loin des affrontements armés que certains cercles prévoyaient durant le sursaut du 22 février. Un autre fait est celui de l'intervention d'Edwy plenel en face à un autre nostalgique de " l'Algérie française", qui pour le premier, considère que "les Algériens sont capables de résoudre leurs problèmes, sans l'intervention d'aucun pays tiers et il appartient de respecter ce nchoix".


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