C'est le mécontentement chez la majorité des citoyens qui ne savent plus à quelsaint se vouer. Face à unphénomène devenu habituel depuis quelques années durant les fêtes religieuses ou nationales, c'est le mêmescenario qui se répète àchaque grande occasion !C'est le mécontentement chez la majorité des citoyens qui ne savent plus à quelsaint se vouer. Face à unphénomène devenu habituel depuis quelques années durant les fêtes religieuses ou nationales, c'est le mêmescenario qui se répète àchaque grande occasion !
En dépit de l'appel lancé par l'Uniongénérale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), en directionde ses adhérents afin d'assurer la permanencedurant les deux jours de l'Aïd ElFitr et de la menace brandie par le ministèredu Commerce à l'encontre des récalcitrants,nombre de professionnels ontmanqué à cette obligation à travers le territoirenationale, selon plusieurs sourcesconcordantes. La capitaleAlger, elle, faitexception, puisque l'appel y a été plus oumoins suivi d'un quartier à l'autre.
Parailleurs, une réaction plutôt favorable auprogramme de la permanence, a été perçueau deuxième jour de cette fête religieuse,marquée par une disponibilitérelative des produits alimentaires de largeconsommation, où pharmacies, commercesde fruits et légumes, boulangeries,épiceries et autres étaient ouverts.La permanence a été plus ou moins respectée,comparativement à l'année précédenteoù les citoyens ont trouvéd'énormes difficultés à s'approvisionner,en lait et en pain, en particulier.
C'esttoujours le même problème qui se pose,tout le monde se bouscule pour une oudeux baguettes parce qu'il y a très peu de boulangeries qui sont ouvertes. Pour parer à ce dilemme, qui n'est vraimentpas étranger pour les Algériens, lesquelques supérettes et alimentationsgénérales, ainsi quequelques particuliersau niveau de quelques quartiers, ontgaranti aux consommateurs du pain traditionnel.Autre produit trop demandédurant l'Aïd: le lait. Face àl'indisponibilité, du moins en quantitéssuffisantes, du lait en sachet, beaucoup deconsommateurs se sont retrouvés obligés de se rabattre sur le lait en pack, aumoins trois fois plus cher que le premier.
Le constat n'est pas meilleur concernantles viandes, fruits et légumes, ainsi qued'autres produits à travers nombre de wilayas du pays. Le secteur des transports n'est pas en reste puisque nombreuxsont les transporteurs ayant déserté leurs quais. Il faut dire que les fêtes religieuses, dans la capitale et la majorité des grandes villes d'Algérie, sont toujours synonymes de privations, en raison dunon respect de certains commerçants quifont fi de l'intérêt général et de la réglementationqui, pourtant, les obligent à ouvrir leurs commerces pendant ces journées précises.
En dépit des carences, lajoie restait au rendez-vous. Ces instantsde plaisir nous font oublier un peu cetriste refrain qui fait qu'à chaque Aïd, lesboulangers et les commerçants transgressent la réglementation en privant les citoyens de pain et de lait sans qu'ils nesoient, pour autant, sanctionnés par ceuxqui sont censés les contrôler
En dépit de l'appel lancé par l'Uniongénérale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), en directionde ses adhérents afin d'assurer la permanencedurant les deux jours de l'Aïd ElFitr et de la menace brandie par le ministèredu Commerce à l'encontre des récalcitrants,nombre de professionnels ontmanqué à cette obligation à travers le territoirenationale, selon plusieurs sourcesconcordantes. La capitaleAlger, elle, faitexception, puisque l'appel y a été plus oumoins suivi d'un quartier à l'autre.
Parailleurs, une réaction plutôt favorable auprogramme de la permanence, a été perçueau deuxième jour de cette fête religieuse,marquée par une disponibilitérelative des produits alimentaires de largeconsommation, où pharmacies, commercesde fruits et légumes, boulangeries,épiceries et autres étaient ouverts.La permanence a été plus ou moins respectée,comparativement à l'année précédenteoù les citoyens ont trouvéd'énormes difficultés à s'approvisionner,en lait et en pain, en particulier.
C'esttoujours le même problème qui se pose,tout le monde se bouscule pour une oudeux baguettes parce qu'il y a très peu de boulangeries qui sont ouvertes. Pour parer à ce dilemme, qui n'est vraimentpas étranger pour les Algériens, lesquelques supérettes et alimentationsgénérales, ainsi quequelques particuliersau niveau de quelques quartiers, ontgaranti aux consommateurs du pain traditionnel.Autre produit trop demandédurant l'Aïd: le lait. Face àl'indisponibilité, du moins en quantitéssuffisantes, du lait en sachet, beaucoup deconsommateurs se sont retrouvés obligés de se rabattre sur le lait en pack, aumoins trois fois plus cher que le premier.
Le constat n'est pas meilleur concernantles viandes, fruits et légumes, ainsi qued'autres produits à travers nombre de wilayas du pays. Le secteur des transports n'est pas en reste puisque nombreuxsont les transporteurs ayant déserté leurs quais. Il faut dire que les fêtes religieuses, dans la capitale et la majorité des grandes villes d'Algérie, sont toujours synonymes de privations, en raison dunon respect de certains commerçants quifont fi de l'intérêt général et de la réglementationqui, pourtant, les obligent à ouvrir leurs commerces pendant ces journées précises.
En dépit des carences, lajoie restait au rendez-vous. Ces instantsde plaisir nous font oublier un peu cetriste refrain qui fait qu'à chaque Aïd, lesboulangers et les commerçants transgressent la réglementation en privant les citoyens de pain et de lait sans qu'ils nesoient, pour autant, sanctionnés par ceuxqui sont censés les contrôler
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Posté Le : 08/06/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com