«Nous, les chômeurs, ne voulons pas àªtre des immolés, ni des harraga, ni de l'Ansej qui mène vers la justice, ni de l'emploi de jeunes avec des salaires humiliants, nous voulons juste du travail et un salaire pour nous sentir Algériens», écrit ce comité dans une déclaration transmise à notre rédaction. «Nous interpellons les responsables à prendre en charge nos doléances. Dans le cas contraire, nous demandons une prise en charge sociale (assurance sociale et salaire minimum).» Ce sera la première fois que les chômeurs s'organisent en tant que tels (en comité) pour battre le pavé à Béjaïa.
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Posté Le : 10/04/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Kamel Medjdoub
Source : www.elwatan.com