A la traîne dans le raccordement au réseau du gaz avec un taux de 70% pour la fin de cette année, selon les déclarations du premier responsable de l'exécutif, Boumerdès tente quand même de rattraper un retard que la conjoncture économique et financière du pays ne facilite guère à résorber.Mais il y a aussi d'autres obstacles qui relèvent plus des moyens matériels de certaines entreprises locales et des conditions sociales de la population.
Les oppositions au passage des conduites en raison de litiges familiaux des propriétaires de terrains ou tout simplement pour refus, l'ouverture par les citoyens de nouvelles pistes non prévues par le tracé initial, le retard de certaines APC à engager les subventions de la direction de l'administration locale (DAL), des constructions nouvelles que les études n'avaient pas incluses et les défaillances de certaines entreprises réalisatrices de projets, à l'image de Kanaghaz, sont quelques aspects qui ralentissent, voire bloquent les projets de raccordement de zones souvent éparses.
A ce titre, l'exemple de Bordj Ménaïel est assez édifiant. Maloussia, Aïn El Hamra, El Ghicha et Draâ El Halouf, village agricole, et Boukhil vivent toujours dans l'attente, même si les raisons sont différentes.
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Posté Le : 23/10/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Lakhdar Hachemane
Source : www.elwatan.com