Nous sommes au mois de février et la pluie tarde à venir, le problème de l'alimentation en eau potable risque de se poser avec acuité dans les prochains mois. Tout le monde polémique d'ailleurs sur ce sujetNous sommes au mois de février et la pluie tarde à venir, le problème de l'alimentation en eau potable risque de se poser avec acuité dans les prochains mois. Tout le monde polémique d'ailleurs sur ce sujetPleuvra-t-il si on prie ' se demandent les fidèles. Des "waâdas" sont organisées un peu par tout, à travers le pays... Des légendes et des prétendus miracles au cours des siècles refont surface. C'est un sujet extrêmement intéressant et pertinent pour ceux qui souhaitent comprendre l'état d'avancée des sciences dans les pays musulmans.Mais, les cieux étaient à l'écoute de leurs doléances. Et voilà que les premières pluies sont annonciatrices d'espoir. Mais ces gouttelettes n'ont réussi qu'à mettre à nu le bricolage et les mauvaises conceptions d'aménagement de nos villes par rapport aux axes routiers et trottoirs. Une fois les voeux exhaussés, Dieu dans Sa Miséricorde, laisse l'entière initiative aux individus de remédier à leurs problèmes dans une approche purement humaine.Malheureusement, la réalité constatée, est loin des aspirations des citoyens, qui critiquent l'irresponsabilité et l'insouciance de nos élus. Bien que l'Etat débloque des sommes faramineuses pour l'amélioration du cadre de vie, la ville des Genêts, est encore une fois mise à l'index. Plusieurs artères de la ville se trouvent dans un état déplorable, elles sont parsemées de crevasses et de nid-de-poule. Il suffit qu'il pleuve pour que les chaussées se transforment en énormes excavations.A titre illustratif, la Nouvelle-Ville, au niveau du quartier La- Tour. L'état des rues crée un véritable problème de sécurité publique. Pour éviter le pire, les automobilistes sont obligés d'effectuer des slaloms, mettant en danger leurs vies et celles des autres usagers de la route. Les citoyens, que nous avons rencontrés sur les lieux, sont unanimes à crier leur ras-le-bol.Ils n'ont pas été tendres envers les services concernés et surtout, n'ont pas mis leurs langues dans leurs poche, en déclarant que "les opérations d'entretien et de revêtement, effectuées par les services de l'APC, sont du bricolage, puisque les trous réapparaissent à chaque pluie"."Logiquement une commission d'enquête ministérielle devrait être déjà en train d'enquêter sur les nombreuses carences que ces pluies ont dévoilé et sur les milliards évaporés et ces présumés entrepreneurs et leurs complices dans les services techniques qui se sont enrichis sur le dos des contribuables, auraient été auditionnés, pour rendre compte de leur actes", ontils lancé en signe de message à la tutelle. Ils incriminent les élus d'une commune, qu'on appelait un certain temps "la petite Suisse", précisent-ils."Les services de l'APC ne jouent pas pleinement leur rôle dans l'entretien des chaussées de la ville", souligne un chauffeur de bus, hors de lui en raison de l'état lamentable dans lequel se trouvent les chaussées. De son côté, un voyageur; intervient en affirmant : "Vu cette situation, pourquoi, ils nous demandent à chaque fois de payer le fisc", ajoute-il.Les citoyens se disent marginalisés à cause des promesses non tenues de certains élus locaux. Les pluies qui se sont abattues dernièrement ont transformé les ruelles, et les trottoirs en de véritables mares, où ne manquent que les canards. Dans ce contexte, les citoyens interpellent les pouvoirs publics pour mettre fin au calvaire qu'ils endurent depuis belle lurette.Pleuvra-t-il si on prie ' se demandent les fidèles. Des "waâdas" sont organisées un peu par tout, à travers le pays... Des légendes et des prétendus miracles au cours des siècles refont surface. C'est un sujet extrêmement intéressant et pertinent pour ceux qui souhaitent comprendre l'état d'avancée des sciences dans les pays musulmans.Mais, les cieux étaient à l'écoute de leurs doléances. Et voilà que les premières pluies sont annonciatrices d'espoir. Mais ces gouttelettes n'ont réussi qu'à mettre à nu le bricolage et les mauvaises conceptions d'aménagement de nos villes par rapport aux axes routiers et trottoirs. Une fois les voeux exhaussés, Dieu dans Sa Miséricorde, laisse l'entière initiative aux individus de remédier à leurs problèmes dans une approche purement humaine.Malheureusement, la réalité constatée, est loin des aspirations des citoyens, qui critiquent l'irresponsabilité et l'insouciance de nos élus. Bien que l'Etat débloque des sommes faramineuses pour l'amélioration du cadre de vie, la ville des Genêts, est encore une fois mise à l'index. Plusieurs artères de la ville se trouvent dans un état déplorable, elles sont parsemées de crevasses et de nid-de-poule. Il suffit qu'il pleuve pour que les chaussées se transforment en énormes excavations.A titre illustratif, la Nouvelle-Ville, au niveau du quartier La- Tour. L'état des rues crée un véritable problème de sécurité publique. Pour éviter le pire, les automobilistes sont obligés d'effectuer des slaloms, mettant en danger leurs vies et celles des autres usagers de la route. Les citoyens, que nous avons rencontrés sur les lieux, sont unanimes à crier leur ras-le-bol.Ils n'ont pas été tendres envers les services concernés et surtout, n'ont pas mis leurs langues dans leurs poche, en déclarant que "les opérations d'entretien et de revêtement, effectuées par les services de l'APC, sont du bricolage, puisque les trous réapparaissent à chaque pluie"."Logiquement une commission d'enquête ministérielle devrait être déjà en train d'enquêter sur les nombreuses carences que ces pluies ont dévoilé et sur les milliards évaporés et ces présumés entrepreneurs et leurs complices dans les services techniques qui se sont enrichis sur le dos des contribuables, auraient été auditionnés, pour rendre compte de leur actes", ontils lancé en signe de message à la tutelle. Ils incriminent les élus d'une commune, qu'on appelait un certain temps "la petite Suisse", précisent-ils."Les services de l'APC ne jouent pas pleinement leur rôle dans l'entretien des chaussées de la ville", souligne un chauffeur de bus, hors de lui en raison de l'état lamentable dans lequel se trouvent les chaussées. De son côté, un voyageur; intervient en affirmant : "Vu cette situation, pourquoi, ils nous demandent à chaque fois de payer le fisc", ajoute-il.Les citoyens se disent marginalisés à cause des promesses non tenues de certains élus locaux. Les pluies qui se sont abattues dernièrement ont transformé les ruelles, et les trottoirs en de véritables mares, où ne manquent que les canards. Dans ce contexte, les citoyens interpellent les pouvoirs publics pour mettre fin au calvaire qu'ils endurent depuis belle lurette.
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Posté Le : 09/02/2016
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : IDIR AMMOUR
Source : www.lemidi-dz.com