Algérie

Les Brigades rouges nient être derrière l'attentat de Brindisi



Les Brigades rouges nient être derrière l'attentat de Brindisi
Les Brigades rouges, dans une lettre adressée à l'agence de presse italienne Ansa, démentent catégoriquement être responsables de l'attentat à la bombe qui a tué une lycéenne de 16 ans samedi à Brindisi, dans le sud de l'Italie.
"Nos cibles ne sont certainement pas les étudiants et les travailleurs. Nos combattants en visent d'autres : les patrons, la classe au pouvoir, les banquiers et les prostitués du régime étatique", écrit le mouvement armé d'extrême gauche dont les attentats, notamment l'assassinat de l'ancien président du Conseil Aldo Moro en 1978, ont ensanglanté l'Italie durant les "années de plomb".
La lettre porte le symbole des "Brigate rosse", l'étoile à cinq branches, et Ansa la juge probablement authentique, ce que n'ont pas confirmé les autorités. Mercredi, le président Giorgio Napolitano a dit sa crainte de voir l'Italie retomber dans la violence politique des années 1970. La piste de la mafia, initialement évoquée dans l'explosion de Brindisi, semble avoir été écartée. La ministre de l'Intérieur, Anna Maria Cancellieri, a cependant jugé qu'il s'agissait d'un attentat "terroriste".
Ces dernières semaines, plusieurs attaques ont visé des locaux de la principale administration fiscale et un cadre du nucléaire a été blessé par balles à Gênes au début du mois, attentat revendiqué par un groupe anarchiste.
Jordanie
Manifestation
à Amman pour réclamer des réformes
Des centaines de personnes ont manifesté vendredi à Amman à l'appel de l'opposition pour réclamer des réformes et protester contre la hausse des prix en Jordanie.
Lors de cette manifestation organisée à l'occasion de l'anniversaire de l'indépendance de la Jordanie en 1949, les manifestants ont scandé des slogans réclamant des réformes, appelant, notamment, à ne pas "incendier le pays en haussant les prix".
Les protestataires brandissaient également des banderoles, sur l'une d'elles on pouvait lire "les poches des gens sont une ligne rouge. Qui est responsable de la corruption et des dettes élevées". Jeudi, le Parlement jordanien a voté la confiance au gouvernement du nouveau Premier ministre Fayez Tarawneh.
Les députés avaient appelé le gouvernement à éviter la hausse des prix des produits de première nécessité et services, notamment le transport public. Le gouvernement dirigé par M. Tarawneh a récemment déclaré qu'il envisageait d'augmenter les prix de plusieurs produits et d'imposer de nouvelles taxes pour combler le déficit budgétaire croissant du pays, qui devrait atteindre 2,9 milliards de dollars américains d'ici à la fin de l'année 2012.
Les Brigades rouges, dans une lettre adressée à l'agence de presse italienne Ansa, démentent catégoriquement être responsables de l'attentat à la bombe qui a tué une lycéenne de 16 ans samedi à Brindisi, dans le sud de l'Italie.
"Nos cibles ne sont certainement pas les étudiants et les travailleurs. Nos combattants en visent d'autres : les patrons, la classe au pouvoir, les banquiers et les prostitués du régime étatique", écrit le mouvement armé d'extrême gauche dont les attentats, notamment l'assassinat de l'ancien président du Conseil Aldo Moro en 1978, ont ensanglanté l'Italie durant les "années de plomb".
La lettre porte le symbole des "Brigate rosse", l'étoile à cinq branches, et Ansa la juge probablement authentique, ce que n'ont pas confirmé les autorités. Mercredi, le président Giorgio Napolitano a dit sa crainte de voir l'Italie retomber dans la violence politique des années 1970. La piste de la mafia, initialement évoquée dans l'explosion de Brindisi, semble avoir été écartée. La ministre de l'Intérieur, Anna Maria Cancellieri, a cependant jugé qu'il s'agissait d'un attentat "terroriste".
Ces dernières semaines, plusieurs attaques ont visé des locaux de la principale administration fiscale et un cadre du nucléaire a été blessé par balles à Gênes au début du mois, attentat revendiqué par un groupe anarchiste.
Jordanie
Manifestation
à Amman pour réclamer des réformes
Des centaines de personnes ont manifesté vendredi à Amman à l'appel de l'opposition pour réclamer des réformes et protester contre la hausse des prix en Jordanie.
Lors de cette manifestation organisée à l'occasion de l'anniversaire de l'indépendance de la Jordanie en 1949, les manifestants ont scandé des slogans réclamant des réformes, appelant, notamment, à ne pas "incendier le pays en haussant les prix".
Les protestataires brandissaient également des banderoles, sur l'une d'elles on pouvait lire "les poches des gens sont une ligne rouge. Qui est responsable de la corruption et des dettes élevées". Jeudi, le Parlement jordanien a voté la confiance au gouvernement du nouveau Premier ministre Fayez Tarawneh.
Les députés avaient appelé le gouvernement à éviter la hausse des prix des produits de première nécessité et services, notamment le transport public. Le gouvernement dirigé par M. Tarawneh a récemment déclaré qu'il envisageait d'augmenter les prix de plusieurs produits et d'imposer de nouvelles taxes pour combler le déficit budgétaire croissant du pays, qui devrait atteindre 2,9 milliards de dollars américains d'ici à la fin de l'année 2012.




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