Algérie

Les bâtisses à démolir menaçaient ruine



Les bâtisses à démolir menaçaient ruine
Toutes les bâtisses devant être démolies à la suite des secousses telluriques qui avaient ébranlé, il y a quelques jours les localités de Merouana et de Ras- Layoun, à Batna, "menaçaient ruine" avant le séisme et ses répliques, a affirmé lundi le wali, Hocine Mazouz. Le chef de l'exécutif local qui effectuait une visite de travail dans la zone touchée, a soutenu, dans la foulée, qu'"aucune construction ne s'est écroulée des suites des secousses".Toutes les bâtisses devant être démolies à la suite des secousses telluriques qui avaient ébranlé, il y a quelques jours les localités de Merouana et de Ras- Layoun, à Batna, "menaçaient ruine" avant le séisme et ses répliques, a affirmé lundi le wali, Hocine Mazouz. Le chef de l'exécutif local qui effectuait une visite de travail dans la zone touchée, a soutenu, dans la foulée, qu'"aucune construction ne s'est écroulée des suites des secousses".Il a toutefois donné des instructions fermes pour la fermeture "immédiate" d'une école primaire, d'une cantine scolaire, d'une mosquée et d'une maison de jeunes située dans le quartier Chidi, à Merouana, pour entamer les travaux de démolition de ces structures, "par précaution", dès la semaine prochaine.Ordonnant aux responsables concernés de "diagnostiquer les terrains abritant ces infrastructures", M. Mazouz s'est engagé, devant les habitants de Merouana, à faire construire une nouvelle maison de jeunes et à participer à la construction d'une nouvelle mosquée, en plus de la récupération du site de l'école et de la cantine scolaire qui serviront à l'implantation d'un équipement public dans ce quartier.Le wali a également affirmé que l'évaluation des dégâts occasionnés à des constructions à la suite des secousses telluriques "continue d'être menée par des comités techniques spécialisés en vue de la constitution d'un dossier à transmettre aux instances concernées aux fins d'indemnisation, le cas échéant".Il a par ailleurs donné le coup d'envoi d'une caravane composée de médecins, de psychologues, de paramédicaux, d'éléments de la Protection civile et de représentants des secteurs de la santé et de l'action sociale, qui sillonnera les différentes zones enclavées touchées par des secousses telluriques pour la prise en charge psychologique des habitants.Des instructions ont également été données pour le maintien sur place des trois centres avancés mis en place par la Protection civile et qui sont en alerte 24 heures sur 24 dans le quartier Chidi (Merouana) et dans les communes de Rahbat et de Talkhemt.Depuis l'enregistrement de la première secousse tellurique, le 15 mars dernier, des sorties sur le terrain ont été effectuées par les autorités locales dans les différentes régions touchées pour prendre acte des préoccupations des citoyens et veiller sur l'application des mesures de prise en charge qui s'imposent dans ce genre de situation. Depuis deux semaines, 28 répliques d'une magnitude de 2,2 à 4,8 degrés sur l'échelle ouverte de Richter ont été enregistrées à Merouana et ses environs, a-t-on rappelé.Il a toutefois donné des instructions fermes pour la fermeture "immédiate" d'une école primaire, d'une cantine scolaire, d'une mosquée et d'une maison de jeunes située dans le quartier Chidi, à Merouana, pour entamer les travaux de démolition de ces structures, "par précaution", dès la semaine prochaine.Ordonnant aux responsables concernés de "diagnostiquer les terrains abritant ces infrastructures", M. Mazouz s'est engagé, devant les habitants de Merouana, à faire construire une nouvelle maison de jeunes et à participer à la construction d'une nouvelle mosquée, en plus de la récupération du site de l'école et de la cantine scolaire qui serviront à l'implantation d'un équipement public dans ce quartier.Le wali a également affirmé que l'évaluation des dégâts occasionnés à des constructions à la suite des secousses telluriques "continue d'être menée par des comités techniques spécialisés en vue de la constitution d'un dossier à transmettre aux instances concernées aux fins d'indemnisation, le cas échéant".Il a par ailleurs donné le coup d'envoi d'une caravane composée de médecins, de psychologues, de paramédicaux, d'éléments de la Protection civile et de représentants des secteurs de la santé et de l'action sociale, qui sillonnera les différentes zones enclavées touchées par des secousses telluriques pour la prise en charge psychologique des habitants.Des instructions ont également été données pour le maintien sur place des trois centres avancés mis en place par la Protection civile et qui sont en alerte 24 heures sur 24 dans le quartier Chidi (Merouana) et dans les communes de Rahbat et de Talkhemt.Depuis l'enregistrement de la première secousse tellurique, le 15 mars dernier, des sorties sur le terrain ont été effectuées par les autorités locales dans les différentes régions touchées pour prendre acte des préoccupations des citoyens et veiller sur l'application des mesures de prise en charge qui s'imposent dans ce genre de situation. Depuis deux semaines, 28 répliques d'une magnitude de 2,2 à 4,8 degrés sur l'échelle ouverte de Richter ont été enregistrées à Merouana et ses environs, a-t-on rappelé.




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