Algérie

Les avocats, ces bien-aimés!



Depuis le temps que nous mettons le doigt sur le comportement controversé des «robes noires»à travers les années, nous nous apercevons du côté burlesque de la chose, puisque les avocats conjoints des magistrates et vice versa, ne discutent jamais du boulot en rentrant le soir at home, pour la simple raison, que le couple a autre chose à dire ou à faire! Nous voyons mal Yasmina Benzadi poireauter avec son chéri d' Ouadhah, qui se démène toute la journée avec les justiciables, ou encore cette autre sacrée conseillère à la Cour suprême, Malika Djabali discuter chaudement avec son amoureux d'époux,Me Chemli qui adore la magistrature. Il a eu toujours horreur des magistrats, qui ont une peur bleue à appliquer seulement la loi!
Et cette histoire de magistrats allergiques à l'application de la loi, remonte aux premières années de l'indépendance, lorsque les priorités étaient toutes autres que l'instauration de la justice, inculquer l'esprit de justice, surtout que le peuple algérien venait de sortir des griffes, du colonialisme, et donc il ne fallait pas trop s'employer à le serrer de trop près.
Les dirigeants de l'époque, des têtes comme on n'en fait plus de nos jours, ne faisaient pas trop attention aux droits de l'homme et aux autres concepts de démocratie, de libertés individuelles, se concentrant, hélas, sur la seule liberté des peuples afro-asiatiques! On parlait d'Alger, comme étant la «Mecque» des révolutionnaires, mais pas d'Alger, capitale d'un pays nouvellement indépendant, et surtout libre, qui devait jouir des libertés les plus élémentaires!
Le seul Algérien à avoir pensé juste en évoquant l'état du pays, fut le regretté Da L'Ho, Hocine Ait Ahmed, qui qualifia les régimes qui se sont succédé, de «policiers», un pays gouverné par la
«police politique», et à aucun moment, il n'a prononcé jamais le fameux concept d'«Etat militaire!» Oui, l'histoire n'a gardé que «l'Etat policier».
Tout cela pour affirmer que les avocats traînent le boulet qui freine l'avancée d'un peuple que l'on présente fils de l' «l'Algérie nouvelle»!


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