Les autorités s'en mêlent

S'inscrivant dans une logique de confrontation, estimant avoir été acculédans ses derniers retranchements, leprésident de la JS Kabylie, CherifMellal, a accentué la pression sur lesresponsables du football national,notamment après la sanction dont il aécopé de la part de la CD de la LFP.Multipliant ses sorties médiatiques,enrobées de menaces fermesS'inscrivant dans une logique de confrontation, estimant avoir été acculédans ses derniers retranchements, leprésident de la JS Kabylie, CherifMellal, a accentué la pression sur lesresponsables du football national,notamment après la sanction dont il aécopé de la part de la CD de la LFP.Multipliant ses sorties médiatiques,enrobées de menaces fermes
d'"internationaliser"son bras de fer, notammentavec le président de la Ligue,Abdelkrim Medouar, il a pu compter, àcet effet, sur une manifestationbruyante d'une frange de la diasporapartisane du club, la semaine écoulée,dans la capitale française, Paris.Dans cette même veine, le chairmankabyle annonçait la tenue prochained'un sit-in en Suisse, devant les sièges
des instances internationales du football,le Tas et la Fifa, promettant de porterà leur connaissance l'"illégalité dela Ligue de football professionnel et deson président", à ses dires et dont il afait un abcès de fixation en guise deriposte à ce qu'il juge comme une"hogra"
à l'encontre de son équipe.Voire de toute une région dont la JSKest le porte-flambeau.Des faits qui, vraisemblablement, ontexaspéré les plus hautes autorités dupays, très pointilleuses sur la préservationde la paix sociale par ces tempsprécis et les soubresauts que connait lascène politique nationale, à quelquesencablures de la présidentielle d'avril2019. Deux faits viennent corroborerune telle hypothèse. Lundi soir, le présidentde la Fédération, KheirdineZetchi, qui avait publiquement soutenu réitéré son soutien à Abdelkrim Medouar, au fur et à mesure que l'affaire JSK - LFP prenait de l'ampleur recevait, à sa demande, Cherif Mellal,pour un conclave dont les échos soulignent l'aspect cordial. Mieux, certaines sources proches de Dely-Ibrahim anticipent déjà sur la levée pure et simple de la suspension du patron des verts et jaunes. Le deuxième est lié à cette réunion, inédite, initiée par le ministère de l'Intérieur, sous le motif officiel d'un tour de table autour du bilan de la phase - aller et à laquelle ont été conviés, mardi, le président de la LFP
et le SG de la Faf. Des observateurs avertis relèvent, ainsi, que les deux épisodes donnent à comprendre qu'aussi bien Zetchimais surtout Medouar ont été sommés, en haut lieu, de mettre fin à une situation qui prend de plus en plus allure d'une auberge espagnole, menaçant de dérapage. Peur encore en témoigner la diligencede la Faf de signer la convention réglementaire la liant à la LFP, selon uncommuniqué de la Fédération publiésur son site officiel, ce mercredi.Six mois après le renouvellement de la LFP et après que Mellal eût fait d'une telle carence, inexplicable au demeurant, l'un de ses chevaux de bataille
d'"internationaliser"son bras de fer, notammentavec le président de la Ligue,Abdelkrim Medouar, il a pu compter, àcet effet, sur une manifestationbruyante d'une frange de la diasporapartisane du club, la semaine écoulée,dans la capitale française, Paris.Dans cette même veine, le chairmankabyle annonçait la tenue prochained'un sit-in en Suisse, devant les sièges
des instances internationales du football,le Tas et la Fifa, promettant de porterà leur connaissance l'"illégalité dela Ligue de football professionnel et deson président", à ses dires et dont il afait un abcès de fixation en guise deriposte à ce qu'il juge comme une"hogra"
à l'encontre de son équipe.Voire de toute une région dont la JSKest le porte-flambeau.Des faits qui, vraisemblablement, ontexaspéré les plus hautes autorités dupays, très pointilleuses sur la préservationde la paix sociale par ces tempsprécis et les soubresauts que connait lascène politique nationale, à quelquesencablures de la présidentielle d'avril2019. Deux faits viennent corroborerune telle hypothèse. Lundi soir, le présidentde la Fédération, KheirdineZetchi, qui avait publiquement soutenu réitéré son soutien à Abdelkrim Medouar, au fur et à mesure que l'affaire JSK - LFP prenait de l'ampleur recevait, à sa demande, Cherif Mellal,pour un conclave dont les échos soulignent l'aspect cordial. Mieux, certaines sources proches de Dely-Ibrahim anticipent déjà sur la levée pure et simple de la suspension du patron des verts et jaunes. Le deuxième est lié à cette réunion, inédite, initiée par le ministère de l'Intérieur, sous le motif officiel d'un tour de table autour du bilan de la phase - aller et à laquelle ont été conviés, mardi, le président de la LFP
et le SG de la Faf. Des observateurs avertis relèvent, ainsi, que les deux épisodes donnent à comprendre qu'aussi bien Zetchimais surtout Medouar ont été sommés, en haut lieu, de mettre fin à une situation qui prend de plus en plus allure d'une auberge espagnole, menaçant de dérapage. Peur encore en témoigner la diligencede la Faf de signer la convention réglementaire la liant à la LFP, selon uncommuniqué de la Fédération publiésur son site officiel, ce mercredi.Six mois après le renouvellement de la LFP et après que Mellal eût fait d'une telle carence, inexplicable au demeurant, l'un de ses chevaux de bataille