Algérie

Les assurances de Youcef Yousfi


Les assurances de Youcef Yousfi
Durant deux jours, un grand nombre de responsables du secteur de l'énergie, dont ceux de Sonatrach, ainsi que des experts nationaux et étrangers débattront à Oran sur deux sujets intéressant les développements des hydrocarbures en Algérie, notamment le gaz de schiste et son exploitation.Durant deux jours, un grand nombre de responsables du secteur de l'énergie, dont ceux de Sonatrach, ainsi que des experts nationaux et étrangers débattront à Oran sur deux sujets intéressant les développements des hydrocarbures en Algérie, notamment le gaz de schiste et son exploitation.Le ministre de l'Energie, Youcef Yousfi, rassure quant à l'exploitation du gaz de schiste sans "effets" sur l'environnement et les nappes albiennes. Le sous-secrétaire américain à l'Energie, Christopher Smith, suivra également les débats aux côtés de Youcef Yousfi. Youcef Yousfi rassure aussi bien sur l'exploitation du gaz de schiste que sur la production nationale d'hydrocarbures qui a connu un déclin certain ces dernières années.Au cours de son intervention, hier, à l'occasion de l'ouverture des travaux de la Conférence internationale sur l'industrie du gaz en Algérie, le ministre a affirmé que "l'option du gaz schiste est irréversible" en annonçant que "Sonatrach s'active à utiliser les techniques pour accéder aux hydrocarbures contenus dans les formations compactes". Plus précis, Youcef Yousfi a certifié que Sonatrach "se prépare activement" à utiliser les techniques permettant d'avoir accès aux hydrocarbures contenus dans les formations géologiques compactes comme les schistes.Selon lui, l'objectif escompté est "d'exploiter plus rationnellement les gisements déjà en production comme celui de Hassi Messaoud dans le but d'augmenter le taux d'extraction à partir de ses compartiments compacte". Youcef Yousfi rassure sur les effets néfastes que pourraient générer l'exploitation du gaz schiste. "L'emploi de ces technologies doit nécessairement s'accompagner d'une gestion rigoureuse des ressources en eau et de la préservation de l'environnement", a-t-il souligné, révélant qu'"un encadrement rigoureux est déjà mis en place dont le strict respect sera exigé".Dans ce contexte, il confie qu'"il sera fait appel aux technologies les plus avancées notamment en matière de traitement des eaux après leur emploi". Le ministre rassure également sur la production nationale des hydrocarbures. Certains analystes ont prédit l'épuisement des ressources en hydrocarbures à l'horizon 2025-2030.Selon le ministre "notre production recommence à accroître grâce à la mise en exploitation de nouveaux gisements". Pour le gaz, il prévoit que "la production de gaz naturel augmentera de 40 % dans les cinq années à venir et la doubler d'ici une dizaine d'années et un élargissement la base de nos réserves minières par l'intensification de l'exploration dans toutes les régions du pays et à l'amélioration du taux de récupération des gisements".Dans ce sillage le P.-DG de Sonatrach, Saïd Sahnoun, a annoncé que le groupe pétrolier national "compte investir 3,480 milliards de dollars dans la construction de nouveaux gazoducs pour améliorer la capacité de ceux déjà existants". Il est à rappeler que l'année dernière, Sonatrach a réalisé une production des hydrocarbures de près de 4 milliards de barils équivalent pétrole tandis que pour les neuf premiers mois de l'année 2014, Sonatrach a réalisé, dans le domaine de la production des hydrocarbures, quelque 2,5 milliards de barils équivalent pétrole, selon Youcef Yousfi. Il est peu probable que Sonatrach réalise, au terme de l'année en cours, la production de 2013.Le ministre de l'Energie, Youcef Yousfi, rassure quant à l'exploitation du gaz de schiste sans "effets" sur l'environnement et les nappes albiennes. Le sous-secrétaire américain à l'Energie, Christopher Smith, suivra également les débats aux côtés de Youcef Yousfi. Youcef Yousfi rassure aussi bien sur l'exploitation du gaz de schiste que sur la production nationale d'hydrocarbures qui a connu un déclin certain ces dernières années.Au cours de son intervention, hier, à l'occasion de l'ouverture des travaux de la Conférence internationale sur l'industrie du gaz en Algérie, le ministre a affirmé que "l'option du gaz schiste est irréversible" en annonçant que "Sonatrach s'active à utiliser les techniques pour accéder aux hydrocarbures contenus dans les formations compactes". Plus précis, Youcef Yousfi a certifié que Sonatrach "se prépare activement" à utiliser les techniques permettant d'avoir accès aux hydrocarbures contenus dans les formations géologiques compactes comme les schistes.Selon lui, l'objectif escompté est "d'exploiter plus rationnellement les gisements déjà en production comme celui de Hassi Messaoud dans le but d'augmenter le taux d'extraction à partir de ses compartiments compacte". Youcef Yousfi rassure sur les effets néfastes que pourraient générer l'exploitation du gaz schiste. "L'emploi de ces technologies doit nécessairement s'accompagner d'une gestion rigoureuse des ressources en eau et de la préservation de l'environnement", a-t-il souligné, révélant qu'"un encadrement rigoureux est déjà mis en place dont le strict respect sera exigé".Dans ce contexte, il confie qu'"il sera fait appel aux technologies les plus avancées notamment en matière de traitement des eaux après leur emploi". Le ministre rassure également sur la production nationale des hydrocarbures. Certains analystes ont prédit l'épuisement des ressources en hydrocarbures à l'horizon 2025-2030.Selon le ministre "notre production recommence à accroître grâce à la mise en exploitation de nouveaux gisements". Pour le gaz, il prévoit que "la production de gaz naturel augmentera de 40 % dans les cinq années à venir et la doubler d'ici une dizaine d'années et un élargissement la base de nos réserves minières par l'intensification de l'exploration dans toutes les régions du pays et à l'amélioration du taux de récupération des gisements".Dans ce sillage le P.-DG de Sonatrach, Saïd Sahnoun, a annoncé que le groupe pétrolier national "compte investir 3,480 milliards de dollars dans la construction de nouveaux gazoducs pour améliorer la capacité de ceux déjà existants". Il est à rappeler que l'année dernière, Sonatrach a réalisé une production des hydrocarbures de près de 4 milliards de barils équivalent pétrole tandis que pour les neuf premiers mois de l'année 2014, Sonatrach a réalisé, dans le domaine de la production des hydrocarbures, quelque 2,5 milliards de barils équivalent pétrole, selon Youcef Yousfi. Il est peu probable que Sonatrach réalise, au terme de l'année en cours, la production de 2013.


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