Algérie

Les associations estudiantines mécontentes



La reprise des cours à l'université, hier, n'a pas fait l'unanimité. Si la tutelle a décidé de poursuivre l'application du protocole sanitaire et l'enseignement à distance, des associations estudiantines estiment que rien n'empêche le déroulement des cours en présence des étudiants.La reprise des cours à l'université, hier, n'a pas fait l'unanimité. Si la tutelle a décidé de poursuivre l'application du protocole sanitaire et l'enseignement à distance, des associations estudiantines estiment que rien n'empêche le déroulement des cours en présence des étudiants.
Des associations, représentant l'Ugel et la Fédération nationale des étudiants algériens, ont protesté encore une fois contre le confinement à l'université. Le SG de cette organisation, Salah Djouadi, a indiqué dans sa page Facebook que "les étudiants sont prêts à rejoindre les amphi pour les cours à condition de mettre des dispositifs draconiens de prévention contre le covid-19". Il estime que "l'organisation n'est pas contre ces mesures prises par la tutelle mais vu qu'il y ait très peu de cas de contamination par le virus, la présence physique des étudiants est souhaitable". La Fédération nationale des étudiants algériensest du même avis, et a considéré également que "les difficultés inhérentes à la plate-forme numérique de l'enseignement à distance pose le problème de poursuite des cours". Selon cette dernière, "il y a un grand retard à rattraper mais il faudra revoir toute la plate-forme numérique et son efficacité doit être prouvée".
D'autres exigent "un débit Internet aux normes", pour pouvoir suivre le reste des cours avant la reprise officielle du 12 novembre prochain. "Nous souhaitons une levée de confinement partiel pour les étudiants avec les règles de prévention sanitaires à adopter", fait savoir l'association estudiantine, arguant que "certains étudiants, qui viennent des autres wilayas vers lespôles universitaires des grandes villes, n'ont pas les moyens ni le matériel numérique, pour suivre les cours". Cela étant, le ministère de l'Enseignement supérieur, qui a déjà signé la feuille de route pour cette rentrée a instruit tous les établissements universitaires, à "procéder par 3 étapes" pour la reprise des cours, les examens de rattrapage et les soutenances de master et doctorat qui doivent se dérouler à huis clos. Pour éviter les débordements, la tutelle rappelle les dispositions prises le 16 août dernier et concernent principalement la poursuite de l'enseignement à distance via le réseau numérique, et la fixation des examens par paliers jusqu'au 1er septembre, et de mettre à jour les autres modes des NTIC dans l'attente d'une performance pour l'achèvement de l'année universitaire 2020-2021.
Des associations, représentant l'Ugel et la Fédération nationale des étudiants algériens, ont protesté encore une fois contre le confinement à l'université. Le SG de cette organisation, Salah Djouadi, a indiqué dans sa page Facebook que "les étudiants sont prêts à rejoindre les amphi pour les cours à condition de mettre des dispositifs draconiens de prévention contre le covid-19". Il estime que "l'organisation n'est pas contre ces mesures prises par la tutelle mais vu qu'il y ait très peu de cas de contamination par le virus, la présence physique des étudiants est souhaitable". La Fédération nationale des étudiants algériensest du même avis, et a considéré également que "les difficultés inhérentes à la plate-forme numérique de l'enseignement à distance pose le problème de poursuite des cours". Selon cette dernière, "il y a un grand retard à rattraper mais il faudra revoir toute la plate-forme numérique et son efficacité doit être prouvée".
D'autres exigent "un débit Internet aux normes", pour pouvoir suivre le reste des cours avant la reprise officielle du 12 novembre prochain. "Nous souhaitons une levée de confinement partiel pour les étudiants avec les règles de prévention sanitaires à adopter", fait savoir l'association estudiantine, arguant que "certains étudiants, qui viennent des autres wilayas vers lespôles universitaires des grandes villes, n'ont pas les moyens ni le matériel numérique, pour suivre les cours". Cela étant, le ministère de l'Enseignement supérieur, qui a déjà signé la feuille de route pour cette rentrée a instruit tous les établissements universitaires, à "procéder par 3 étapes" pour la reprise des cours, les examens de rattrapage et les soutenances de master et doctorat qui doivent se dérouler à huis clos. Pour éviter les débordements, la tutelle rappelle les dispositions prises le 16 août dernier et concernent principalement la poursuite de l'enseignement à distance via le réseau numérique, et la fixation des examens par paliers jusqu'au 1er septembre, et de mettre à jour les autres modes des NTIC dans l'attente d'une performance pour l'achèvement de l'année universitaire 2020-2021.


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